Mustapha El Khalfi, ministre chargé des Relations avec le Parlement et la société civile, porte-parole du gouvernement, balaie d'un revers de la main les critiques adressées à la gestion gouvernementale du dossier d'Al Hoceima tout en reconnaissant la responsabilité politique de l'Exécutif. Il s'exprime aussi sur les 100 premiers jours du gouvernement et la relation avec le Parlement. Retrouvez l'intégralité de cet article dans l'édition disponible en kiosques, ou en version e-Paper