Le Conseil d'administration de la Mutuelle générale du personnel des administrations publiques (MGPAP) tenu à Mehdia, le 2 juillet, a déclaré que le directeur de la Caisse nationale des organismes de prévoyance sociale est «allé trop loin dans son interprétation de la convention liant la Mutuelle générale et la CNOPS». En bloquant l'accès au Système d'information «Esquif» à 29 employés de la MGPAP, la CNOPS n'a pas respecté les procédures en vigueur s'agissant de recourir à l'arbitrage de l'Agence nationale de l'assurance médicale (ANAM). Par ailleurs, le Conseil d'administration a considéré la lettre adressée par le directeur de la CNOPS à la MGPAP comme étant une «preuve tangible d'une falsification des faits et porteuse d'accusations graves nécessitant un recours à la justice». Tags: Mutuelle MGPAP CNOPS