Une géographie «idéal» vis-à-vis des marchés européens et africains, des coûts de main d'œuvre «très compétitifs», des accords de libre-échange avec plusieurs pays, un environnement des affaires «stables». C'est autant d'avantages que Aziz El Atiaoui, directeur du bureau de l'Agence marocaine pour le développement des investissements (AMDI) en Espagne a décliné autour du Maroc lors du 12e European Automotive Congress (Congrès européen de l'automobile) qui s'est tenue les 29 et 30 septembre dernier à Madrid. Vantant sans concessions les opportunités d'affaires qu'offre le royaume, El Atiaoui n'a pas manqué de rappeler que les nombreux plans de développement initiés par le pays au cours des dix dernières années. Pour le directeur de l'AMDI, c'est là une «plateforme attractive» pour les investisseurs étrangers, notamment dans l'industrie automobile en croissance «rapide» au Maroc. Par ailleurs, le Congrès s'est également penché sur les défis majeurs auxquels le secteur est confronté actuellement, en rapport, entre autres, avec les stratégies de production compétitives et performantes, les technologies futures et l'utilisation de nouveaux matériaux dans la construction automobile.