Le héros britannique le plus sage et le plus futé de sa génération revient pour une ultime affaire! Sherlock Holmes, campé par l'excellent Ian McKellen. Sortie en salles le 4 mai. En 1947, Sherlock Holmes, depuis longtemps à la retraite, vit paisiblement dans le Sussex, avec sa gouvernante et son fils, un détective amateur. Mais la quiétude recherchée n'est qu'une façade... Si son légendaire pouvoir de déduction n'est plus intact, et si Watson n'est plus là, Holmes va se lancer dans son ultime enquête, la plus compliquée de sa longue carrière... Selon Allociné, Ian McKellen et le cinéaste Bill Condon se retrouvent 17 ans après avoir travaillé ensemble sur Ni Dieux ni Démons, une évocation de la vie du réalisateur James Whale. Condon a le don pour vieillir McKellen: en effet, l'acteur avait près de 60 ans quand il a tourné Ni Dieux ni Démons mais incarnait Whale à la fin de sa vie ; âgé de 76 ans, le comédien doit camper Sherlock à 93 ans: «J'ai vraiment le don de vieillir Ian, et on s'est dit que tout ce qu'il restait à faire maintenant, c'était Mathusalem, qu'on pourra tourner quand il aura 90 ans», s'amuse le metteur en scène. Ian McKellen tente d'expliquer les raisons du succès du personnage de Sherlock Holmes: «Les gens sont intrigués par la vie privée des détectives privés. C'est peut-être Conan Doyle qui a commencé, mais il a été suivi par Agatha Christie avec Miss Marple et Poirot. Il existe un nombre considérable de livres sur les problèmes personnels des détectives privés, qui peuvent être en contradiction avec leur image publique. C'est certainement le cas pour Sherlock. Je pense que c'est la raison pour laquelle les gens en reviennent toujours à Holmes», analyse le Britannique.