À la veille de la COP 22, le groupe Al Omrane vient de lancer un plan de gestion environnemental et social. Pour la mise en place de ce plan, l'entreprise a scellé des partenariats durables avec différents départements. Al Omrane se met au goût du jour en matière de développement durable en lançant un plan de gestion environnemental et social du groupe. Quatre accords de partenariat ont été signés hier en vue de l'accompagnement institutionnel d'Al Omrane dans la mise en œuvre de ses actions de mise en conformité avec la réglementation et la bonne pratique, l'évaluation et la réduction des impacts environnementaux et sociaux du groupe, ainsi que l'amélioration de la communication avec ses clients. À la veille de la COP 22, le ministre de l'Habitat et de la politique de la ville, Nabil Benabdellah, affiche sa fierté. «Nous avons beaucoup fait sur le volet quantitatif en vue de réduire le déficit en logement. Il est temps de passer à une démarche de qualité soutenue en s'inscrivant dans la durabilité. La présence de l'habitat doit être significative dans la COP22», dit-il. Les conventions signées portent notamment sur la préservation de l'eau, l'énergie, les conditions d'emploi, la santé et la sécurité dans les métiers du groupe et l'approche environnementale de l'urbanisme. Elles confirment l'engagement du groupe sur la voie du développement durable, formalisé déjà depuis 2013 par la signature d'une Charte environnementale et sociale, rappelle Badr El Kanouni, président du directoire d'Al Omrane. Le ministre de tutelle a aussi beaucoup insisté sur le volet du partenariat et de la coordination avec les différents départements concernés afin d'atteindre les objectifs escomptés. D'ailleurs, le lancement du plan de gestion environnemental et social d'Al Omrane est soutenu par bon nombre d'institutions. Plusieurs départements sont, en effet, signataires des conventions : le ministère de l'Habitat et de la Politique de la Ville, le ministère de l'Aménagement du territoire et de l'urbanisme, le ministère de l'Emploi et des Affaires Sociales, le ministère de l'Environnement et celui de l'Eau. Les bailleurs de fonds attachés à la démarche de durabilité ont aussi marqué par leur présence la cérémonie du lancement du plan, comme la coopération japonaise JICA, la coopération allemande GIZ, et des institutions nationales telles que le CESE et l'ADEREE. Les fédérations et les ordres professionnels étaient également au rendez-vous.