Après l'amertume, Ziyech, Sabiri et Saïss respirent la joie de reprendre du service. Nos trois Lions de l'Atlas étaient pleins de gaieté ce week-end. Suivez La Vie éco sur Telegram C'était vraiment la poisse, il y a quelques semaines, pour un certain nombre de joueurs marocains. De Hakim Ziyech à Rhanem Saïss, en passant par Abdelhamid Sabiri et en arrivant à Soufiane Amrabat, c'était vraiment le grand « 3kess ». Ziyech n'en finissait pas de subir des mauvais traitements sur le plan mental à cause du mépris gratuit du président des Blues. On s'était réjouis pendant un moment lorsque Hakim allait rejoindre le club saoudien d'Al Nasr. Puis, à la dernière minute, plus rien. Le capitaine des Lions, lui, était parti pour jouer au Qatar et au dernier moment les choses se sont subitement compliquées. A cause de complications administratives, Saïss s'est retrouvé sans club ! Bonjour la dépression. Heureusement que le club saoudien d'Al Shabab a vite fait de signer avec le joueur. Quant à Sabiri, après que l'entraîneur de Fiorentina faisait tout pour le recruter et la belle prestation du joueur lors des matchs préparatoires, il le met sur le banc dès le début du Calcio ! L'ex-joueur de la Sampdoria perd le contrôle et, débordant d'amertume, décide de s'envoler pour le pays des Haramayn. Finalement, ce sauvetage par « le gong » sera compensé par un bon début pour les trois joueurs chacun dans son nouveau club. Ainsi, Ziyech, entré en jeu juste avec le début de la seconde mi-temps, il s'est distingué sur quelques séquences, avant d'adresser la passe décisive du quatrième but de son équipe. Le Marocain a tenté un tir des 30 mètres, qui a été légèrement dévié par l'Argentin Mauro Icardi à la 67e minute. On le voyait sur son visage, il était heureux après ce match, ses coéquipiers le poussaient vers un public plus que chaleureux et son entraîneur, Okan Buruk, n'a pas tari d'éloges à son égard plus tard. En Arabie saoudite, lors du match opposant Sabiri (Al Fayha) à Saïss (Al Shabab) les deux joueurs étaient parmi les meilleurs de cette rencontre. Ghanem a marqué un but, tandis que Sabiri a réalisé un grand match et fut tout près de scorer à plusieurs occasions. Tous les trois étaient pleins de gaieté ce week-end. Comme disait Confucius, la chance est bien souvent un hasard qui se provoque.