Ils sont toujours les premiers à espionner les réseaux parallèles d'information pour soutirer des renseignements annonçant les grands évènements qu'ils se précipitent de couvrir pour en tirer un maximum de gains sonnants et trébuchants à la vente des photos. Ils se font servir moyennant quelques menus …cadeaux aux journalistes qui les tuyautent. Eux, ce sont les faux «paparazzis qui ne sont ni journalistes professionnels ni photographes accrédités, mais des «intrus» sans foi ni loi qui s'infiltrent dans les sites de réunions au risque même de forcer les barrages de sécurité et de contrôle. Plus grave, des organisateurs affirment que certains d'entre eux s'aventurent à dérober des badges. Pire encore, ils sont d'une violence inouïe et des bagarreurs sans vergogne qui n'hésitent pas à s'en prendre à coup d'invectives, d'insultes et de coups de gueule aux préposés à l'organisation, semant la zizanie et électrisant l'ambiance pour parvenir à leurs fins. Au congrès du PAM, les «kramssias» photographes qui ne voulaient rien perdre d'une opportunité…appétissante pour approcher les personnalités en vue, ont fait honte à l'éthique humaine et piétiné les règles élémentaires de la moralité, se révoltant publiquement comme des «bêtes enragées» en tentant de «défoncer» l'accès fermé de la salle du congrès où les débats portaient sur l'élection des dirigeants du parti. Vociférant comme des damnés, gesticulant à tout bout de champ, bousculant tout le monde sur leur passage, menaçant de toutes les représailles imaginables, avec prise de photo à l'appui d'une intimidation, le «coupable» tout trouvé qui s'échinait à les tenir en respect et à distance. Des gens manquant d'une éducation élémentaire et des affairistes incorrigibles.