La capitale ismaélienne qui, autrefois excipait sa fierté nourrie par l'image d'une ville propre dont les eaux des rivières et des oueds étaient cités en exemple, est devenue un danger pour la santé de ses habitants, redoutant la pollution des eaux qui sont utilisées pour l'arrosage des espaces verts et jardins et l'irrigation agricole. Cette situation de pollution hydrique, a fait tirer la sonnette d'alarme par la société civile, déplorant l'absence de politiques coordonnées, en matière de protection environnementale au moment de l'implantation des cimenteries et des autres unités industrielles.