« Le progrès est impossible sans changement, et ceux qui ne peuvent jamais changer d'avis ne peuvent ni changer le monde ni se changer eux-mêmes. » George Bernard Shaw. Quand je regarde mon entourage, quand une personne âgée me raconte son histoire, son parcours, ses problèmes, ses aventures et ses mésaventures, je suis subjugué par le courage de cette personne. La fourmi de Lafontaine Une fourmi qui se bat, se débat contre les courants, contre la misère. Beaucoup ont vécu des situations qui sont "humainement" intolérables pour les jeunes d'aujourd'hui. Ces personnes âgées étaient visionnaires, voyaient loin, économisaient, pensaient à leur avenir et l'avenir de leur progéniture. Dans le monde rural par exemple, les personnes emmagasinent ce qu'elles peuvent en prévision d'un futur impitoyable. Cela se voit dans leurs habitudes culinaires. Une preuve de maturité, une manière de penser dont le jeune est indigent. La sauterelle. Je l'appelle sauterelle. Éternel suiveur. Rêveur perpétuel. Rares sont les jeunes que je rencontre qui ont une certaine idée de ce qu'ils veulent faire, des choix à effectuer... On est entraîné par la foule, par la houle ... et à un moment donné, on se retrouve face au mur, sans rien, ni dans sa poche, ni dans sa tête. Sauterelle, tu mourras de faim, et ce sera ta fin. Je pense aux diplômés chômeurs, aux jeunes dans les quartiers défavorisés, à ces jeunes désemparés et désorientés. Dieu seul connaît leur désarroi, leur malheur, leur misère... Mais, sauterelles. Je suis sévère, et j'ai beau me secouer, me remettre en question. Pourquoi ne se sont ils jamais posé une question simple : Où est ce que je vais ? Nulle part... Sauterelle, pense à ton avenir, car ce dernier est cruel. Sauterelle, ce pays ne te donnera rien, ne t'offrira rien. Si tu veux quelque chose, c'est le labeur, et non les plaintes, ni les complaintes. Sauterelle, si tu veux construire ton rêve, ta gloire ou ta richesse, tu n'as qu'à devenir une fourmi... Construis ton avenir. Adapte-toi. Change. Pose-toi des questions. Mais ne reste pas les bras ballants. Une fois fourmi, tu te révolteras... je suis entièrement d'accord avec toi. il faut bosser et bosser...... le labeur nous fait oublier nos peines, nous construit et construit l'avenir de notre progéniture si progéniture il y a en fait , se poser des questions dans le vide n'est pas très constructif.........attendre les bras croisés non plus !!!!!! pour changer il faut mettre la main à la patte, faire avec les moyens du bord, avec ce qu'on a et oublier un peu ce qu'on aurait pu avoir de mieux.......pour changer il faut plutôt se concentrer sur comment adapter ce qu'on a à nos espérances....... et pour ça un seul moyen travailler !!!!!