A la lumière de la charte de l'éducation nationale et la formation et qui prévoit la réforme de l'enseignement, sous toutes ses formes et à tous les niveaux, la mise en place des programmes adéquats s'impose avec acuité. Lesquels programmes doivent répondre aux exigences de l'époque où nous sommes, dite de défis, l'ère où les technologies de pointe sont, à tous les stades, susceptibles de menacer le développement économique d'une nation, quand elles sont mal exploitées, pour manque de qualification et/ou de spécialisation de la ressource humaine, moteur de toute évolution. Les objectifs des formations doivent être déterminés avec beaucoup de vigilance et précision de manière à ce que les attentes des employeurs soient prises en considération, au niveau national et international, du fait que le phénomène de mondialisation impose la maîtrise des compétences transférables et exportables, par le fait aussi que les opérations de libres échanges tendent vers une extension au niveau international. Dans ce sens les évaluations des programmes enseignés et de leurs objectifs, ne doivent pas viser uniquement la vérification de l'acquisition des modules donnés, mais et surtout l'évaluation des compétences et des aptitudes maîtrisées par les formés. Des situations finales qui vont leur permettre de trouver un emploi ou de s'installer favorablement à leur compte. A cet égard, les formateurs doivent, à tous les niveaux et cycles de formation, permettre aux enseignés, de faire appel à leur imagination et leur créativité sans limiter leur champ d'action ni les contraindre à restituer les définitions et les théories transmises. Les formés doivent être mis dans des situations de recherches et de production dés le départ. Les programmes doivent tenir compte de la spécificité de chaque groupe et ciblera, en conséquence, un apprentissage réellement applicable dans la vie active pour éviter de donner, parfois des enseignements inutiles, qui ne font que perdre du temps à tout le monde. L'enseignement doit être consacré aujourd'hui à la mesure des performances et favoriser, avec clarté, la mesure de la hauteur de la maîtrise des compétences attendues, qui seront en l'occurrence celles développées. Et donc, les tests et les cas concrets établis dans ce sens doivent être fait de sorte à ce que le formé puisse mettre en application, et de manière intelligente, son acquis à la fin de chaque module, et avant de passer au module suivant. Et c'est de cette manière que l'on aide les enseignés à construire une expérience et des compétences sectorielles tout le long de leur parcourt scolaire, professionnelle ou universitaire. Le placement des élèves, stagiaires et étudiants en stage dans des entreprises est vivement souhaité, pour la confrontation de la réalité et mettre les théorie en application pour pouvoir vérifier le degrés de difficultés pouvant être rencontrées à l'avenir. Une formation purement théorique et non confrontée aux réalités professionnelles et technologiques est vouée à l'échec dés le départ .C'est le cas de grand nombre de diplômés en chômage actuellement .Ces derniers n'ont acquis de compétences pertinentes pouvant leur donner accès à la vie active, pour occuper un emploi productif et rentable. Par conséquent, nous appelons nos écoles et nos universités à se pencher sur le de développement de compétences pertinentes au lieu de donner des cours académiques basés uniquement sur des cours théoriques. Il est nécessaire, dans une formation de tenir compte des réalités économiques industrielles, commerciales et technologiques de pointes en y adaptant nos programmes de formation. Enfin, il est nécessaire de trouver des solutions au chômage des jeunes diplômés ; et c'est, en premier lieu la tâche de l'école. Pour la mise en application de ces formes d'apprentissage, il est du devoir des professeurs, à tous les niveaux, de chercher d'abord à maîtriser les outils des nouvelles technologies de la communication et de l'information et particulièrement l'outil informatique ; comme ils doivent faire des recherches régulières. Le formateur ne doit plus se considérer comme le seul à détenir la connaissance, mais doit permettre à ses apprenants de faire part des résultats de leurs recherches et/ou découvertes, laisser aussi le champ libre à la critique et à l'initiative. L'appel des nouvelles méthodes pédagogiques, n'est pas, malheureusement, monnaie courante dans les facultés, c'est pourquoi l'enseignement reste encore académique. Les professeurs se contentent de dicter un savoir que les étudiants doivent restituer au cours d'un examen, raison pour laquelle on remarque l'absence de compétences et de développement d'expériences chez les lauréats à la sortie d'une école........Il est donc grand temps de mettre fin à ces pratiques dépassées dans le temps et dans l'espace.