Elle se positionnait contre le Kremlin et désirait publier un livre sur l'histoire de la Tchétchénie. Amnesty international a exprimé sa colère face à l'assassinat de cette journaliste qui voulait que la situation change en Russie et dans les environs (Tchétchénie, notamment). La finalité de son travail a été la mort. Son combat n'est pas voué à l'échec. Il est temps que d'autres journalistes russes ou de différentes nationalités, suivent chemin entreprit par Anna pour redynamiser les systèmes politique et social russes. Le chemin parcouru par cette journaliste est périlleux. Elle a osée parler des difficultés politiques de son pays, en s'opposant à Vladimir Poutine et en dénonçant la torture en Tchétchénie. Un certain nombre de journalistes ont été tués ou sont kidnappés lors de leurs voyages (Ingrid Betancourt, par exemple qui était candidate à la présidence de la Colombie). Leur libération et leur sort dépendent des kidnappeurs. Vitali Tretiakov, rédacteur en chef du journal Novost : "Il est évident que la première version qui vienne à l'esprit est celle d'un meurtre lié à ses activités professionnelles". Mikhail Gorbachev, ancien Président d'Union soviétique, a qualifié l'assassinat d'Anna Politkovskaïa de "coup contre toute la presse démocratique et indépendante". Témoignages pris de www.wikipedia.fr