Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce jeudi: Le Matin Sur Hautes Instructions du Roi Mohammed VI, Chef suprême et Chef d'Etat-Major Général des Forces Armées Royales, le Prince Héritier Moulay El Hassan a présidé, mercredi au Collège Royal de l'Enseignement Militaire Supérieur à Kénitra, la cérémonie de sortie de la 19e promotion du Cours Supérieur de Défense et de la 53e promotion du Cours Etat-Major. Ces dernières comptent 156 lauréats dont 42 officiers originaires de 21 pays amis du Royaume à savoir: Arabie Saoudite, Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Chine, CongoBrazzaville, Côte d'Ivoire, Egypte, Espagne, France, Gabon, Guinée Conakry, Madagascar, Mali, Niger, République Centrafricaine, République Démocratique du Congo, Sénégal, Tanzanie, Togo, Tunisie. Bank Al-Maghrib planche sur un texte réglementaire visant à encadrer la gestion du risque climatique par les établissements de crédit. Ce projet, initié pour le maintien de la stabilité financière, demandera aux banques de tenir compte des préoccupations relatives au changement climatique dans leurs gouvernance et stratégie. Il a également pour objectif d'élargir leur cartographie des risques à ceux liés à la dimension environnementale. Il imposera, en outre, aux banques de communiquer autour de ces risques en intégrant progressivement les recommandations du TCFD (Task force on climate-related financial disclosures), groupe de travail créé fin 2015, en amont de la COP 21, par le Conseil de la stabilité financière (Financial Stability Board). L'Economiste Inauguration imminente pour TangerMed II. Aujourd'hui, le nouveau terminal, dénommé TC4, a une longueur de 1.600 m et une capacité totale de 4,2 millions de conteneurs standards par an. Le contrat de concession s'étend sur 30 ans. L'investissement est d'envergure avec 758 millions d'euros, soit environ 8,2 milliards de DH, auxquels se joint l'investissement pour les darses et les travaux maritimes, soit un total de 10 milliards de DH pour APM Terminals. Au total, les investissements pour TangerMed II ont atteint les 26 milliards de DH, dont 14 milliards de DH pour l'Agence TangerMed et 12 milliards de DH pour les concessionnaires. Le montant a financé l'infrastructure, les superstructures et les équipements de gestion de terminaux. «Sans contrat-programme, la flotte de la RAM devra continuer à croître mais à un rythme beaucoup plus faible. Sans contrat-programme, le problème de la taille limitée de la flotte restera posé et ne permettra pas à la compagnie d'exploiter le potentiel de développement», a affirmé Abdelhamid Addou, PDG de la RAM. «Tout l'enjeu serait d'assurer une stabilité de la compagnie dans un contexte difficile marqué par une exacerbation de la concurrence. Le développement de la RAM à travers sa flotte, ses infrastructures, ses ressources humaines est le seul choix possible si nous souhaitons maintenir notre position de leader en Afrique», a-t-il dit dans un entretien. Aujourd'hui Le Maroc Quelque 30.000 exploitations agricoles au Maroc sont actuellement équipées en panneaux photovoltaïques (PPV), soit 8,8% des exploitations irriguées, selon les données de l'Agence marocaine pour l'efficacité énergétique (AMEE). Les premiers résultats d'une étude de marché consacrée au pompage solaire à l'échelle nationale, réalisée par l'AMEE dans le cadre du projet « Promotion du développement des systèmes de pompage photovoltaïques pour l'irrigation » (GEF-pompage solaire) montrent que les grandes et moyennes exploitations ont adopté la technologie PPV, dont 76% des installations ont été financées par fonds propres, et que seules 4% de ces installations ont été financées par crédit bancaire. L'énergie solaire photovoltaïque offre une alternative avantageuse et compétitive par rapport aux autres sources traditionnelles tant pour les agriculteurs que pour l'Etat, relève l'étude présentée mardi lors de la réunion de la commission technique nationale d'efficacité énergétique dans le domaine de l'agriculture. Le ministre de la santé a institué la Commission des études de bioéquivalence au niveau de la direction du médicament et de la pharmacie. Cette décision ministérielle datée du 20 juin 2019 permettra de rendre effectives les dispositions du décret n°2-17-429 du ler mars 2019 qui modifie et complète le décret n° 2-12 198 du 12 juin 2012 relatif à la bioéquivalence des médicaments génériques ainsi que les dispositions de la loi 17-04 relatives aux études de bioéquivalence. Cette commission sera chargée de donner son avis sur les dossiers des études de bioéquivalence ainsi que les dossiers d'exonération de ces études. Elle sera ainsi composée des représentants de la direction du médicament et de la pharmacie et des experts choisis parmi les enseignants, en raison de leurs compétences scientifiques, notamment dans le domaine de la bio-statistique, la pharmacologie, la chimie thérapeutique et la pharmacie galénique. L'Opinion Le gouvernement de la Gambie soutient fermement l'Initiative marocaine pour l'autonomie proposée par le Maroc, en tant qu' «issue viable» au conflit du Sahara, a déclaré l'ambassadeur, représentant permanent de la Gambie à l'ONU, soulignant que cette proposition constitue « une solution réaliste, crédible et de compromis pour mettre fin au conflit du Sahara ». Le diplomate gambien, qui s'exprimait devant le Comité des 24 de l'ONU à New York, a cité dans ce cadre les projets du nouveau modèle de développement lancé en 2015 qui montrent clairement l'engagement du Maroc à apporter des investissements, ainsi que le développement des infrastructures et le développement socioéconomique à la population du Sahara. Ce projet de 8 milliards de dollars contribuera sans aucun doute à créer de l'emploi et à donner aux habitants des provinces du sud du Royaume les moyens de réaliser leur plein potentiel, a-t-il relevé. Le duel entre ophtalmologues et opticiens continue. Dernier tir en date, celui opéré par les ophtalmologistes qui sonne comme une réplique à la grande manifestation des opticiens organisée le 3 juin à Rabat en face du siège du ministère de la Santé. Regroupés au sein du Syndicat national des ophtalmologistes libéraux du Maroc, les médecins ophtalmologues du Maroc appellent le Parlement à préserver le principe de la séparation entre la prescription optique et la vente de lunettes, consacré par l'article 6 du projet de loi 45/13, tel qu'amendé et voté par la Chambre des Conseillers le 4 juin dernier, et ce, dans l'intérêt de la santé visuelle des Marocains. Ils alertent aussi sur le conflit d'intérêt manifeste qui existe en autorisant les opticiens à prescrire et à vendre en même temps les lunettes pour la correction de la vue des patients. Al Bayane L'Institution du Médiateur du Royaume a présenté son projet visant la refonte de son système d'information, financé dans le cadre de l'assistance technique de l'Union européenne avec l'appui du ministère de l'Economie et des finances. Ce projet vise à encourager l'utilisation des nouvelles technologies pour améliorer la communication entre l'Institution et les usagers et à faciliter l'accès des citoyens à ses services, notamment par la mise en place de « e-plainte ». Il permet également une restructuration interne de l'institution et sa mise à niveau en matière d'information et d'accès à ses services, ainsi que la réduction des délais de traitement des plaintes avec les administrations par l'instauration d'une liaison « on-line ». Le ministère délégué chargé des Relations avec le Parlement et la Société civile et la Ligue des associations régionales au Maroc ont signé une convention de partenariat portant sur la coopération commune en matière de démocratie participative, de modèle de développement, de sécurité sociétale et de plaidoyer civil au sujet de la marocanité du Sahara. A cette occasion, le ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement et la Société civile s'est félicité des propositions de la Ligue et de ce partenariat « dont la mise en œuvre et le suivi seront délégués à un comité tel que stipulé par la convention », soulignant la confiance placée par les jeunes dans l'action civile, ce qui traduit le nombre croissant d'associations, en particulier après la Constitution de 2011. Libération Des rencontres BtoB visant à maximiser la contribution des entreprises marocaines dans la réalisation du projet Nour Midelt I ont été organisées récemment à Casablanca, à l'initiative d'EDF Renouvelables qui mène le consortium adjudicataire. Ces ateliers sectoriels, qui ont connu la participation notamment du Groupe TSK, chargé de la construction de la centrale, ont réuni des opérateurs de l'électrique et l'électronique, l'ingénierie et conception de projet, la métallurgie et montage industriel et de la BTP, leur permettant d'échanger avec les représentants d'EDF Renouvelables et le Groupe TSK et de s'informer sur le projet Noor Midelt I et d'explorer les différentes pistes de coopération. Comparée aux dernières données conjoncturelles disponibles de l'offre et de la demande, l'appréciation de la conjoncture économique nationale fait état d'une situation économique « globalement positive», a indiqué la Direction des études et des prévisions financières. Cette évolution demeure toutefois «mitigée dans un contexte de ralentissement de la valeur ajoutée agricole et ses implications éventuelles sur les autres composantes de l'économie», a-t-elle souligné dans sa note de conjoncture du mois de juin dernier. Les activités primaires ont été marquées par une campagne céréalière moyenne après celle exceptionnelle de l'année dernière, relève-t-elle. Akhbar Al Yaoum Les terres collectives. «Nous avons de plus en plus le sentiment que l'on s'achemine vers une perte de confiance», a indiqué Abdelouafi Laftit, ministre de l'Intérieur, à la Chambre des représentants. Intervenant devant la Commission de l'intérieur, des collectivités territoriales, de l'habitat et de la politique de la ville, Laftit a indiqué que «le Maroc ne peut pas vivre dans un climat marqué par la défiance», notant que le ministère de l'Intérieur et le gouvernement « ne peuvent pas donner suite à toutes les revendications des parlementaires ». Selon lui, les millions d'hectares mobilisés pour l'investissement visent à promouvoir le développement des collectivités ethniques, du monde rural et la création des richesses. Reçu par la commission de contrôle des finances publiques de la Chambre des représentants, le PDG de la RAM, Abdelhamid Addou a dû répondre à d'innombrables questions: hausse des prix des billets et dégradation de la qualité des services, entre autres. Ainsi, les membres de cette commission ont insisté sur les retards des avions de la RAM, la grève des porteurs de bagages à l'aéroport Mohammed V et la dégradation de la qualité des services du transport aérien domestique et l'augmentation des prix des billets pour les pèlerins marocains. De son côté, Addou s'est félicité des progrès qu'a connus la compagnie ces dernières années, notant que les lignes régionales se sont améliorées durant trois ans. La RAM a transporté environ 1 million de voyageurs contre 500.000 personnes, a-t-il dit, soulignant que la compagnie nationale a modernisé sa flotte par l'acquisition de nouveaux appareils, notamment le «Dreamliner» et amélioré la qualité de ses services. La satisfaction des clients est passée de 55% à 70%, a-t-il fait observer. Al Ahdat Al Maghribia L'opération pilote de « Melkisation » de 67.000 hectares de terres collectives, au profit d'environ 30.000 bénéficiaires situées dans les périmètres d'irrigation du Gharb et du Haouz, a été lancée officiellement par le ministre de l'Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, Aziz Akhannouch et le ministre délégué auprès du ministre de l'Intérieur, Noureddine Boutayeb. Cette opération, appuyée par Millennium Challenge Corporation (MCC, Compact II) à hauteur de 33 millions de dollars, constitue une rupture avec le mode de gestion des terres collectives, a-t-il précisé, notant que la melkisation de 80% des 67.000 hectares de terres collectives prévus dans le cadre de cette opération pilote a nécessité un travail de traitement de 14 mois, là où auparavant, ce type de procédure nécessitait entre 5 et 7 ans. Les 20% restant seront traités dans un délai de 3 mois, a-t-il fait observer. Plus de 4 millions et demi (4.550.000) de têtes d'ovins et de caprins ont été identifiés depuis le lancement, fin avril dernier, de l'opération d'identification des ovins et caprins destinés à l'Aid Al Adha 2019, jusqu'au 25 juin 2019, a annoncé mardi l'Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA). Cette opération, lancée avec l'appui du ministère de l'Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts, devrait couvrir plus de 7 millions de têtes d'ovins et de caprins destinés pour Aid Al Adha, a indiqué l'ONSSA dans un communiqué. L'identification de ces animaux consiste en la pose, sur l'une des oreilles, d'une boucle de couleur jaune qui porte un numéro de série unique, une étoile et un dessin représentant la tête du mouton, et ce afin de permettre d'assurer la traçabilité de ces animaux en cas de besoin. Al Alam Le Roi Mohammed VI a reçu, mardi au Palais Royal de Rabat, plusieurs nouveaux ambassadeurs dans les missions diplomatiques du Royaume auxquels le Souverain a remis leurs dahirs de nomination. Les nouveaux ambassadeurs ont prêté serment devant le Roi. A cette occasion, le Roi a reçu des ambassadeurs étrangers venus prendre congé du Souverain au terme de leurs missions dans le Royaume. En 2018, les victimes de la traite des êtres humains se sont chiffrées à 280 personnes, dont 161 femmes, 75 mineurs, selon le deuxième rapport du chef du ministère public sur la mise en œuvre de la politique pénale et l'amélioration du rendement du ministère public au titre de 2018. Le Maroc compte 4176 magistrats, dont 1029 femmes, souligne le rapport, notant que 4003 magistrats exercent dans des juridictions alors que 173 sont affectés dans différentes administrations. Le rapport fait état de 3.183.892 d'affaires enregistrées devant les tribunaux du Royaume , précisant que 593.315 personnes ont été traduites devant la justice, avec une moyenne de 631 personnes pour chaque magistrat relevant du ministère public. Bayane Al Yaoum «Il n'y a pas de frais d'inscription ou d'études pour les écoles et les instituts supérieurs publics», a affirmé le secrétaire d'Etat chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Khalid Samadi. En réponse à une question orale sur « Les frais de passage des concours d'accès aux écoles et instituts publics », posée par le groupe de la Confédération démocratique du travail (CDT) à la Chambre des conseillers, Samadi a expliqué qu'il n'existe que des frais pour passer les concours, dont l'organisation coûte quelque 6 MDH, supportés par l'Etat à hauteur de plus de 70%. Après avoir mis en avant les efforts consentis par le gouvernement en vue d'alléger la charge financière pour les élèves qui souhaitent accéder aux écoles et aux instituts publics, il a indiqué que la contribution des candidats admis pour passer les concours varie entre 100 et 150 DH, jusqu'à 500 DH. Le Chef du gouvernement, Saad Dine El Otmani, a souligné l'engagement du Maroc dans une dynamique d'accélération des réformes économiques, sociales et institutionnelles, en vue d'améliorer l'environnement de l'investissement et de l'initiative privés pour atteindre un niveau de croissance plus élevé tout en sauvegardant la solidité de son cadre macro-économique. Lors d'une réunion avec les ambassadeurs accrédités auprès l'Organisation de la coopération et du développement économiques (OCDE), à Paris, El Otmani s'est attardé sur les réalisations multidimensionnelles et aux effets hautement bénéfiques accomplies par le Royaume dans différents domaines, notamment sur les plans économique, humain, social et institutionnel. Afin de capitaliser sur les acquis réalisés par la mise en place des réformes déjà engagées et des réformes en cours de mise en œuvre, un accompagnement par le réseau des experts de l'OCDE dans les différents domaines du deuxième Programme pays est d'une grande importance pour le Maroc, a affirmé El Otmani. Al Massae Après la polémique qu'avait provoquée la question de la présence du chef du ministère public au parlement, Mohamed Abdenabaoui, chef du ministère public, a fait un exposé du rapport annuel sur les activités du ministère public devant la commission de la justice et de la législation à la Chambre des représentants. Mohamed Abdenabaoui a affirmé que bien qu'elle n'oblige pas le chef du ministère public à être auditionné par le parlement, la Constitution a inscrit le principe de la collaboration entre les pouvoirs afin que ces derniers ne soient pas isolés les uns des autres. Des centaines de libraires marocains ont manifesté devant le siège du ministère en charge de l'éducation nationale en signe de protestation contre le «peu de cas» fait par le gouvernement de leurs revendications. L'association marocaine des libraires a souligné que cette manifestions a été conçue pour tirer la sonnette d'alarme sur la dégradation de la situation des libraires, dont la majorité risque de faire faillite à cause des décisions «arbitraires» et «unilatérales» prises par le ministère. L'association a accusé le département de tutelle d'avoir opéré des changements sur le livre scolaire sans avoir associé les professionnels, ce qui risque d'infliger des pertes financières importantes aux libraires. Al Ittihad Al Ichtiraki Le président du Centre marocain de conjoncture, Habib El Malki, a affirmé que le modèle économique adopté par le Maroc, fondé sur la demande intérieure, a montré ses limites, ce qui était perceptible ces dix dernières années. Le taux de croissance tournait autour de 3,5%, un rythme lent qui ne permettrait pas d'améliorer le PIB par habitant, qui ne dépasse pas 3250 dollars, a-t-il dit. El Malki a jugé incontournable l'élaboration d'un nouveau modèle de développement, dont l'épine dorsale serait fondée sur une économie orientée vers l'export. Le Maroc et l'Union européenne tient, aujourd'hui à Bruxelles, leur Conseil d'Association qui viendra confirmer la relance du partenariat privilégié et multidimensionnel qui les unit et lui donner une nouvelle impulsion à la hauteur de leurs ambitions partagées. Coprésidée par le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération Internationale, Nasser Bourita, et la Haute Représentante de l'Union européenne pour les Affaires étrangères et la Politique de Sécurité, vice-présidente de la commission européenne, Federica Mogherini, cette 14ème session du Conseil d'Association examinera « les priorités et thématiques du partenariat euro-marocain pour 2019-2020, ainsi que l'avenir de la relation bilatérale dans ses aspects économique et commercial et les questions liées à la mobilité et à la migration », selon une source européenne à Bruxelles. Rissalat Al Oumma La RAM, qui a connu des difficultés, a entrepris de profondes réformes ces dernières années, lui permettant de faire face à la concurrence des compagnies étrangères et d'aboutir à d'importantes réalisations, a souligné le ministre du Tourisme, du Transport aérien, de l'Artisanat et de l'Economie sociale, Mohamed Sajid. La compagnie nationale a lancé de nouvelles lignes et entrepris des transformations majeures, étant donné que ses missions ne se limitent pas au transport aérien, mais englobent également le développement régional et le désenclavement, a-t-il précisé, lors d'une séance de la Commission de contrôle des finances publiques à la Chambre des représentants. Le Maroc est résolument engagé envers les recommandations du Forum sur la coopération sino-africaine (FOCAC) pour promouvoir les projets de développement dans le continent africain, a affirmé le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Industrie, de l'Investissement, du Commerce et de l'Economie Numérique, chargé de l'Investissement, Othman El Ferdaous. S'exprimant en marge de sa participation à la réunion ministérielle de suivi des recommandations du FOCAC, à Pékin, El Ferdaous a souligné que le partenariat entre la Chine et le Maroc est stratégique à plus d'un titre et qu'il s'est consolidé de façon décisive grâce à la visite du Roi Mohammed VI en Chine en mai 2016.