S'étant vu confier la construction d'une résidence balnéaire de la princesse Lalla Meryem, elle se retrouve empêtrée dans une affaire de « manquement aux engagements », des défauts de finition et des actes de malhonnêteté ayant été constatés. Dans les détails, la princesse Lalla Meryem avait décidé de construire une résidence de plage sur une zone balnéaire. Et c'est à la société LC Building, dirigée par Mohamed Jamal Lahjouji, que Lalla Meryem a fait confiance et l'a chargée de l'exécution du projet, au vu de ses références respectables. Son directeur général compte en effet à son actif des réalisations comme Kitea Géant à Tanger, l'hôtel Onomo à Casablanca et l'Ecole centrale de Casablanca. Malgré toutes ses références, LC Building a failli à tous ses engagements pour construire une résidence en conformité avec les règles de l'art et la réglementation en vigueur. Depuis le lancement des travaux, la société a multiplié les actes de malhonnêteté en construisant une demeure où des défauts de finition, des malfaçons et des non-conformités majeures, la rendant impropre à l'habitation. Et c'est les premières pluies qu'a connues le Maroc récemment, qui ont mis à nu cette malhonnêteté: Le mobilier et les équipements de la résidence se sont dégradés, alors que la construction est toute neuve et de haut standing. Alors que LC Building aurait pu livrer une demeure parfaite à la princesse Lalla Meryem, et ajouter cette réalisation à sa liste de références, elle a eu recours malheureusement à des pratiques indignes, à l'instar d'autres sociétés de BTP qui livrent des bâtiments approximatifs à leurs clients. La société LC Building a ainsi livré une demeure pleine de défauts incompréhensibles tout en soutirant des montants et des honoraires importants au maitre d'ouvrage.