Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce vendredi: L'Opinion : La hausse du smig et du smag face à la crise . Censée entrer en vigueur à compter du 1er juillet, la deuxième hausse du SMIG et du SMAG actée à l'issue de l'accord tripartite sur le dialogue social signé en avril 2019, trébuche sur les réalités d'un terrain économique miné par la crise post-Coronavirus. Face au silence assourdissant du gouvernement et son inaction, des voix s'élèvent pour demander le règlement de ce dossier épineux dans un cadre institutionnel de manière à préserver les intérêts des salariés, comme ceux des employeurs. Le but étant d'éviter une vague de licenciements qu'on annonce inéluctable en raison de l'incapacité d'un grand nombre d'entreprises en difficulté d'acter une hausse certes légère, mais loin d'être insignifiante de leur masse salariale en ces temps de crise. Tanger: Transport gratuit pour les candidats du Bac. La société de transport urbain « Alsa » qui opère à Tanger a décidé, en coordination avec la commune de Tanger, de fournir le transport gratuit aux candidats scolarisés et libres qui passeront l'examen national unifié du Baccalauréat au titre de l'année scolaire 2019-2020, sur présentation de la convocation et de la carte nationale d'identité. Le directeur de la société a indiqué que cette initiative a pour but de permettre aux candidats de rejoindre les centres d'examens de manière facile et fluide afin de passer leur examen dans les meilleures conditions. Il a rappelé, par ailleurs, que l'ensemble des bus de la société bénéficient d'opérations de nettoyage et de désinfection quotidiennes, affirmant que toutes les mesures préventives sont mises en place pour lutter contre la propagation du nouveau coronavirus (Covid-19). Al Bayane: Les allégations des adversaires de l'intégrité territoriale du Royaume mises à nu devant le CDH à Genève. La délégation marocaine à la 44ème session du Conseil des droits de l'homme (CDH) à Genève a mis à nu, jeudi, les contrevérités et les allégations fallacieuses colportées par un groupuscule hostile à l'intégrité territoriale du Royaume, et dont les membres sont eux-mêmes dénoncés pour leurs violations des droits de l'homme. Dans un droit de réponse, l'ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l'Office des Nations Unies à Genève, Omar Zniber, a déploré « les tentatives répétitives, malintentionnées et politiquement motivées visant à attaquer le Maroc, en vain, dans son intégrité territoriale ». « Cette tentative émanant d'un petit groupe hostile et ne représentant que lui-même illustre une fois de plus l'irrespect par ces pays pour ce Conseil, eu égard aux mensonges et interprétations tendancieuses contenues dans cette déclaration, au mépris des rapports, dont celui du Secrétaire Général de l'ONU, qui a mis à nu des violations massives des droits des séquestrés dans les camps de Tindouf, sous le contrôle de l'Algérie et des séparatistes », a-t-il enchaîné. La prison de Taounate dément les allégations d'un ancien détenu. L'Administration de la prison locale de Taounate a démenti, jeudi, les allégations d'un ancien détenu selon lesquelles il n'a reçu ni soins médicaux ni médicaments, précisant qu'il s'agit d'allégations fallacieuses visant à nuire à la réputation de l'institution pénitentiaire et à ses fonctionnaires. Dans une mise au point en réponse à une vidéo diffusée sur YouTube, l'administration de la prison locale de Taounate relève que la diffusion de ces allégations par l'ancien détenu est une tentative de porter préjudice à la réputation de l'institution pénitentiaire et à ses fonctionnaires, d'autant plus que l'individu concerné était connu pour son comportement inapproprié. L'institution pénitentiaire souligne que l'ex détenu en question a eu droit, depuis son incarcération, à 13 consultations médicales entre le 11 juillet 2019 et le 02 avril 2020, en plus de deux autres consultations spécialisées pour le système digestif à l'hôpital provincial de la ville, notant qu'il a également fait plusieurs analyses dont les résultats étaient « normaux » et a eu accès aux médicaments qui lui ont été prescrits par le médecin de l'institution pénitentiaire et le médecin externe.