La princesse Lalla Zineb, présidente de la Ligue Marocaine pour la Protection de l'Enfance (LMPE), a présidé, mercredi à Rabat, la cérémonie de signature de la convention de partenariat entre le ministère de la Culture, de la Jeunesse et des Sports et la Ligue Marocaine pour la Protection de l'Enfance. « Son Altesse la Princesse Lalla Zineb, Présidente de la Ligue Marocaine pour la Protection de l'Enfance, a reçu, mercredi au centre Lalla Meriem des enfants privés de famille à Rabat, le ministre de la Culture, de la jeunesse et des sports, Othmane El Ferdaous », qui était accompagné de la Secrétaire Générale du département de la jeunesse et des sports, Mme Nadia Ben Ali », indique un communiqué de la LMPE. Lors de cette audience, la princesse a mis en exergue l'importance du partenariat entre le ministère de la Culture, de la jeunesse et des sports et la Ligue Marocaine pour la Protection de l'Enfance, lequel partenariat s'inscrit dans le cadre du programme de protection et de promotion des droits des enfants et des jeunes en situation difficile, selon la même source. En vertu de cette convention signée entre les deux parties, le ministère de la Culture, de la jeunesse et des sports s'engage à contribuer aux travaux de réaménagement, de construction et d'équipement des centres d'accueil relevant de la Ligue, notamment en matériel technique et sportif nécessaires et au budget de fonctionnement de ces centres, ainsi qu'à la formation et à l'encadrement des éducateurs et éducatrices exerçant au sein de ces structures. Pour sa part, la LMPE s'engage à assurer la prise en charge progressive des enfants en situation difficile, pensionnaires des centres de sauvegarde de l'enfance, relevant du département de la jeunesse et des sports, en fonction de la capacité d'accueil disponible et de l'âge des pensionnaires. La Ligue contribue aussi aux programmes de sensibilisation et d'éducation relatifs aux questions de l'enfance et de la jeunesse, notamment en ce qui concerne la Kafala, les droits de l'enfant et sa protection contre l'abandon, l'exclusion et la marginalisation, poursuit le communiqué.