Nouvel An : le Club Med se distingue. 800 ballons pour la paix, l'amour et l'entente entre les peuples. Le Club Med a fêté le nouvel An avec faste. Le réveillon s'est déroulé en présence de 1300 personnes dans un climat de joie et une ambiance très chaleureuse conduite avec professionnalisme et dévotion de la part de tout le personnel. Comme à l'accoutumée les feux d'artifice ont clôturé la fête, dans un émerveillement particulier. Le premier de l'an a été marqué par un lâcher de 800 ballons de couleur blanche, hymne de souhait pour la paix, l'amour et l'entente entre le peuple, pour 2008. Dans un ciel azuré, les 800 ballons ont été lâchés par les GO, par les clients et par les enfants, dans une ambiance emprunte de grand espoir pour que notre monde retrouve la paix et retrouve la compréhension des peuples, dont il a tant besoin. La cérémonie a été conduite et supervisée par Youssef Dahri, chef de village, dont les talents de grand animateur, rejoignent le professionnalisme, le savoir faire et l'humanisme de ce jeune marocain, une des fiertés en matière de gestion hôtelière à Agadir. Un savoir faire qui nous rappelle celui de Hamid Bentahar DG du Sofitel, un jeun grand professionnel aux talents et aux compétences extraordinaires. Célèbre pour sa gestion rationnelle qui vise la satisfaction du client d'abord et avant tout, le Club Med a toujours été un bon incubateur pour la valorisation de responsables marocains, qui ont tous débuté en bas de l'échelle pour se trouver, après des années de labeur en haut de la pyramide. Ce fut le cas pour Alimane, un jeune de Bensargao, dont la carrière est à elle seule une école au sein du Club Med. Youssef Dahri fait partie de cette catégorie. Animé de conscience professionnelle exemplaire, de travail de terrain, de disponibilité, d'efficacité et de compétence, il finira un jour par rejoindre le haut de la pyramide. C'est bien mérité pour lui, la voie est toute tracée pour qu'il se perfectionne de plus bel encore. C'est malheureusement la valorisation des compétences qui nous manque dans le secteur du tourisme, à la fois chez les institutionnels comme chez les privés. A l'ONMT, à la RAM, dans les chaînes hôtelières, ce sont le favoritisme, la clientélisme, l'amitié, les degrés de parents qui priment dans la distribution des postes et non les compétences et l'expérience requise. Des fils à papa et à maman, qui se trouvent parachuter dans des postes en aucune commune mesure ou proportion avec leurs études cultivant le ridicule, l'égoïsme, l'arrogance et la nullité dans un secteur qui est basé d'abord pour le professionnalisme et le savoir faire. Le Club Med reste une grande école, en matière de formation et de valorisation du personnel, un exemple qu'on aimerait tant se multiplier dans les autres entreprises hôtelières et autres.