Les Nuits du Ramadan de l'Institut français du Maroc sont de retour du 9 au 14 mai 2019. Cette édition propose une programmation ouverte à toutes les sonorités du monde : reggae, fusion, gnawa, rythmes capverdiens, fanfare et bikutsi. Après les journées de jeûne, les mélomanes à travers 12 villes du Royaume pourront danser sur le rythme de sonorités marocaines et celles venues d'ailleurs. L'étoile montante Elida Almeida, l'incontournable duo Aziz Sahmaoui/ Hassan Boussou, le talentueux Djam, l'électrique Lornoar et la festive Fanfare Couche-Tard seront les têtes d'affiche de ces Nuits du Ramadan. Lors de ce rendez-vous musical, la chanteuse capverdienne Elida Almeida présentera un album haut en couleur. Croisant musiques et inspirations diverses, ses chansons explorent les traditions de l'archipel sahélien, qui fut un lieu de passage pour les marins désireux de relier les deux rives de l'Atlantique. Le duo Aziz Sahmaoui/ Hassan Boussou se réunira sur scène pour revisiter la musique Gnawa, porte-drapeau de la culture marocaine dans la World Music. Une fusion de rythmes et mélodies d'Afrique qui raconte le voyage de la musique à travers le temps et l'espace. Au programme, également, l'auteur compositeur et interprète algérien Ahmed Djamil Ghouli alias Djam proposera un concert très marqué par les influences africaines et reggae qui lui sont chères. La chanteuse camerounaise Lornoar nous offrira un magnifique voyage à travers sa culture et sa musique qui va du bikutsi à la bossa nova en passant par le reggae. Enfin, la Fanfare Couche-Tard entrainera les festivaliers dans un concert peuplé de rires, de danses et d'humour. Le groupe, passionné par des musiques allant de la Bretagne à la Turquie et profondément influencé par les mouvements électroniques, a développé un style personnel et fédérateur : des rythmiques solides et dansantes côtoient des thèmes musicaux variés. Un florilège d'émotions garanti. Pour rappel, la précédente édition avait fait honneur aux femmes avec à l'affiche Oum ou encore la Cap-verdienne Monica Pereira.