De par son statut, le Groupe Crédit Agricole du Maroc est d'office le premier établissement à même d'accompagner la réforme du secteur agricole. Si pour les cinq premières années du Plan Maroc Vert (2009-2013), la banque s'est engagée sur une enveloppe de 24 milliards de DH, elle a récidivé pour la deuxième période 2014-2018 avec une deuxième enveloppe de 25 milliards de DH qu'elle prévoit de dépasser. Par A.S. Atout seigneur, tout honneur, le Groupe Crédit Agricole du Maroc (GCAM) s'est positionné dès le lancement du Plan Maroc Vert comme un acteur financier majeur du programme. Son statut en fait d'office le premier établissement à même d'accompagner la réforme du secteur agricole. C'est d'ailleurs le premier à avoir signé une convention avec l'Etat pour le financement du plan. Sur les cinq premières années du plan (2009-2013), le GCAM s'est engagé sur une enveloppe de 20 milliards de DH. Le cumul des crédits octroyés par le GCAM, pendant cette période, au profit de l'agriculture, l'agro-industrie et du monde rural, a largement dépassé les 24 milliards de DH. Ces décaissements ont concerné toutes les filières dans toutes les régions du pays. Pour la deuxième période 2014-2018, la banque verte s'est engagée pour une deuxième enveloppe de 25 milliards de DH qu'elle prévoit de dépasser, compte tenu des nombreux projets destinés à la petite agriculture, aux agrégés, et à la poursuite de la dynamique des différentes filières de production dont les besoins en valorisation, transformation et commercialisation vont être accompagnés par le GCAM. Cette année, la banque verte a parallèlement mobilisé une enveloppe de 1,5 milliard de DH pour alléger les effets du retard de pluie en faveur des agriculteurs. Aussi, le Groupe Crédit Agricole du Maroc se chargera de servir les indemnités relatives à l'assurance sécheresse en faveur des agriculteurs sinistrés et ayant souscrit à l'assurance multirisque climatique. Pour cette opération également, la banque a mis à contribution sa filiale Tamwil El Fellah qui a mobilisé 250 millions de DH pour couvrir les besoins des charges d'exploitation et d'investissement des petits agriculteurs. l