La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) a démenti catégoriquement les allégations proférées contre ses fonctionnaires par la dénommée Amal Houari. Cette dernière a prétendu, dans un post publié sur son compte Facebook, que des éléments de la police en civil ont mené des investigations au sujet de la réputation de son époux au sein de l'immeuble où elle réside. Dans une mise au point publiée mardi pour éclairer l'opinion publique nationale et parvenue à la MAP, la DGSN tient à souligner qu'il ne s'agit nullement d'investigations au sujet de la réputation de l'époux ou de tout autre membre de la famille de l'intéressée, mais d'une simple procédure de remise à l'intéressée et à trois autres femmes, de documents judiciaires émanant du parquet près la Cour d'appel de Casablanca. Tout en réfutant les allégations proférées contre ses fonctionnaires et insistant sur le fait qu'il était simplement question de l'application d'ordonnances judiciaires, la DGSN relève que les interventions des éléments de la police sont réglementées par la loi, encadrées administrativement et soumises à plusieurs niveaux de contrôle et ont pour finalité principale servir le citoyen, garantir sa sécurité et protéger ses biens.