Le rythme de croissance annuelle de l'agrégat M3 s'est maintenu à 3,3%, pour s'établir à 1.344 milliards de dirhams (MMDH) en novembre, selon Bank Al-Maghrib (BAM). Cette évolution reflète une décélération de 5,6% à 4,6% de la croissance de la monnaie scripturale, une atténuation de la baisse de 6,7% à 5,4% pour les comptes à terme et de 13,1% à 8,2% pour les titres d'OPCVM monétaires ainsi qu'une accélération du rythme de la circulation fiduciaire de 7,3% à 7,8%, relève BAM dans une note sur ses indicateurs clés des statistiques monétaires de novembre 2019. Pour sa part, le taux d'accroissement des créances nettes sur l'administration centrale est revenu à 1,7% après 6,5%, alors que les réserves internationales nettes se sont accrues de 7,3% après 3,2%, fait savoir la Banque centrale. En glissement mensuel, l'agrégat M3 est resté quasiment inchangé, d'un mois à l'autre, et les réserves internationales nettes ont connu un accroissement de 3,5% suite principalement aux entrées de devises au titre de l'emprunt obligataire international du Trésor (1 milliard d'euros). Le rythme de croissance annuelle de l'agrégat M3 s'est maintenu à 3,3%, pour s'établir à 1.344 milliards de dirhams (MMDH) en novembre, selon Bank Al-Maghrib (BAM). Cette évolution reflète une décélération de 5,6% à 4,6% de la croissance de la monnaie scripturale, une atténuation de la baisse de 6,7% à 5,4% pour les comptes à terme et de 13,1% à 8,2% pour les titres d'OPCVM monétaires ainsi qu'une accélération du rythme de la circulation fiduciaire de 7,3% à 7,8%, relève BAM dans une note sur ses indicateurs clés des statistiques monétaires de novembre 2019. Pour sa part, le taux d'accroissement des créances nettes sur l'administration centrale est revenu à 1,7% après 6,5%, alors que les réserves internationales nettes se sont accrues de 7,3% après 3,2%, fait savoir la Banque centrale. En glissement mensuel, l'agrégat M3 est resté quasiment inchangé, d'un mois à l'autre, et les réserves internationales nettes ont connu un accroissement de 3,5% suite principalement aux entrées de devises au titre de l'emprunt obligataire international du Trésor (1 milliard d'euros).