Victime des erreurs de l'arbitre Camerounais Antoine Max Depadoux, lors du match qui l'a opposé à la RS Berkane, le bureau dirigeant du Raja, qui après, une réunion à la fin du match, est sorti avec communiqué où il dénonce « un véritable massacre arbitral ». Le club casablancais a demandé à la CAF de dligenter unr enquête sur ce match. Il a même menacé de se retirer de toutes les compétitions africaines. Le Raja de Casablanca et ses supporters ont passé une soirée insupportable,dimanche soir à Berkan où les Verts, ont joué leur quatrième match de la phase de groupe de la coupe de la CAF et ont été lesés par les erreurs répétitives de l'arbitre camerounais Antoine Max Depadoux. Or et à la fin de la rencontre, qui s'est soldée sur un score vierge 0-0, le bureau dirigeant des verts a tenu une réunion d'urgence, a la fin de laquelle, le club a diffusé un communiqué où il s'indigne du « massacre arbitral » subi par le club lors de ce match. « Le match n°135 de la coupe de la CAF, ayant opposé ce dimanche 3 mars 2019, la Renaissance sportive de Berkane au Raja Club Athletic a été marqué par un véritable massacre arbitral. Les erreurs répétitives et graves dont il s'agit sont : un but refusé à la 92e minute, 2 penalties refusés à répétition et avertissements non distribués. (…) Cette mascarade est une honte pour le football africain. Comment est-ce possible en 2019 d'assister à un tel spectacle contraire à toute éthique sportive ? », s'interroge le club casablancais, qui a demandé au président de la confédération africaine de football de mener une enquête sur ce match, tout en menaçant de se retirer de toutes les compétitions organiser par la CAF. « Le Raja ne peut rester indifférent à cette injustice et vous demande (au président de la CAF) solennellement de mener une enquête indépendante et approfondie sur le scandale arbitral qui a caractérisé le match susvisé et partant, rendre justice à notre club. Dans l'attente de votre réponse, monsieur le président, le Raja Club Athletic se réserve le droit de prendre toutes les mesures nécessaires visant à défendre le club pouvant aller, le cas échéant, à l'examen d'un éventuel retrait de toutes les compétitions africaines, y compris la prochaine Supercoupe d'Afrique prévue à Doha le 29 mars 2019 »