La section marocaine d'Amnesty International a appelé, mardi à Rabat, à traduire devant la justice les auteurs des violations des droits de l'Homme dans les camps de Tindouf, en Algérie. Mohamed Sektaoui, directeur général de la section marocaine d'AI a rendu l'Algérie responsable du blocus imposé aux camps de Tindouf, précisant que l'Algérie « interdit souvent aux délégations d'Amnesty d'entrer même en Algérie et non seulement aux camps de Tindouf».