Le mystère "reste entier" autour du meurtre de l'étudiante marocaine Meryem Dehbi, retrouvée morte le 1-er janvier dans le quartier des Chalets à Toulouse (Sud-Ouest de la France), écrit jeudi le quotidien "Le Parisien". Les premiers éléments de l'enquête, confiée à la sûreté départementale, ont pu confirmer qu'il n'y avait pas eu de traces d'effraction et que la porte (du logement loué par l'étudiante) était verrouillée, souligne le journal, faisant remarquer que les clés du logement n'ont toutefois pas été retrouvées. Les policiers ont déjà entendu de nombreux proches de la victime et aucune personne n'a été placée en garde à vue, fait-il savoir. Selon les premières constatations, ajoute-il, la victime connaissait vraisemblablement son agresseur. Agée de 21 ans, Meryem Dehbi, tuée à coups de couteau, préparait un diplôme afin d'intégrer une école d'experts-comptables. Son corps a été retrouvé le soir du Jour de l'An par les pompiers alertés par une proche de la victime, inquiète d'être sans nouvelle d'elle.