2019 a été une année décisive dans l'histoire de la CGEM. L'année riche en péripéties pour le patronat marque le démarrage d'un nouveau cap. Après la démission de Salaheddine Mezouar à mi-parcours, la confédération s'apprête à accueillir un nouveau binôme pour sa présidence. Les élections de la CGEM interviennent à un moment où le secteur privé est interpellé fortement sur des questions stratégiques telles que le nouveau modèle de développement, la régionalisation et la pme. Pour mener à bien cette transition, la synergie des opérateurs doit être renforcée. C'est dans cette optique que le binôme candidat conçoit son approche. Chakib Alj et Mehdi Tazi promettent des chantiers qui apporteront à l'économie marocaine davantage de confiance, de maturité et de pragmatisme. Les candidats uniques pour le prochain mandat de la CGEM ont bâti leur vision autour de 5 convictions ayant pour tronc commun la confiance. Les deux candidats aspirent de donner à la confédération son rôle de facilitateur au service de ses membres, des fédérations et des régions. Ils s'engagent par ailleurs à rétablir la confiance dans l'économie, dans les atouts des entreprises marocaines et des régions qui regorgent de potentialités. Les deux candidats sont confiants que la TPE-PME s'inscrit comme un véritable gisement de croissance à soutenir. Au moment où Chakib Alj et son colistier Mehdi Tazi mènent la course à la présidence de la confédération, les patrons membres s'engagent à poursuivre le parcours en tout respect de la cohésion de la famille de la CGEM. L'engagement étant de fédérer tous les acteurs autour de l'écosystème que cela soit les commissions, fédérations, régions ou les différents acteurs qui interagissent aux niveaux local, régional et international.