L'«Agriculture résiliente et durable» est au cœur même de la stratégie du Groupe Cosumar. Une stratégie qui repose sur sa volonté de devenir un acteur régional créateur durable de valeurs et socialement responsable. Le Salon international de l'agriculture au Maroc (SIAM) est le rendez-vous phare de tous les opérateurs du secteur agricole. Un rendez-vous que le Groupe Cosumar ne manque jamais surtout que le thème retenu pour cette 11ème édition s'inscrit parfaitement dans ses valeurs de leader de la production du sucre blanc au Maroc. En effet, l'«Agriculture résiliente et durable» est au cœur même de la stratégie du Groupe Cosumar. Une stratégie qui repose sur sa volonté de devenir un acteur régional sucrier majeur en Afrique, diversifié dans ses activités, créateur durable de valeurs et socialement responsable. Des engagements forts... En tant que grande entreprise marocaine, la responsabilité du Groupe Cosumar est multiple. Elle est le fondement de sa position d'entreprise citoyenne, consciente de l'importance d'une collaboration sincère et transparente avec les parties prenantes de son écosystème et de la société marocaine en général. A ce titre, le Groupe multiplie ses actions sur trois fronts distincts. Il s'agit en premier d'un engagement résolu auprès du monde rural. En effet, en tant qu'agrégateur responsable, Cosumar conduit de multiples actions en faveur des agriculteurs et de leurs familles visant à développer les régions et à favoriser notamment l'accès aux soins de santé et à l'éducation. Aussi, le Groupe s'investit aux côtés de la société civile pour de nombreuses œuvres caritatives. Le second engagement est d'offrir un accompagnement précieux de la société civile. Ainsi, Cosumar s'investit dans de nombreuses actions de développement socio-éducatif à travers des partenariats avec des ONG nationales telles que l'Heure Joyeuse, Al Jisr et Injaz Al Maghrib entre autres, mais aussi de grandes écoles marocaines. Enfin, le troisième engagement consiste à mener des mesures concrètes pour le respect de l'environnement. A ce titre, Cosumar agit au quotidien pour réduire l'impact de ses activités sur l'environnement, à travers un déploiement continu et rigoureux d'un management environnemental responsable. Un impact direct sur la filière sucrière De par sa taille, Cosumar est impliqué à tous les niveaux de la filière sucrière et est reconnu comme modèle d'agrégateur. En effet, en tant qu'investisseur agro-industriel et agrégateur responsable et solidaire, Cosumar accompagne ses 80.000 agriculteurs sur les plans financier, technique et social. Les contrats d'agrégation mis en place et initiés par le Plan Maroc Vert visent à renforcer la relation gagnant-gagnant avec ses partenaires. Une compétence d'agrégateur reconnue au niveau mondial, puisqu'en 2009, la FAO a décerné la médaille de mérite au Groupe Cosumar, pour son rôle positif d'agrégateur auprès de ses 80.000 partenaires agriculteurs betteraviers et canniers. De même, Cosumar s'érige en acteur fondateur de l'interprofession sucrière marocaine. Ainsi, créée en juin 2007, la Fédération interprofessionnelle marocaine du sucre regroupe l'Association professionnelle sucrière, le Groupe Cosumar et l'Union nationale des producteurs de plantes sucrières au Maroc. Cette Fédération accompagne le développement et la mise à niveau du secteur sucrier marocain, et vient renforcer le cadre de concertation et de coordination, accroître la productivité nationale et garantir la pérennité de l'activité. Cosumar dans son environnement Le Groupe Cosumar contribue au développement de ses régions d'implantation à travers l'édification de villes autour des sucreries, en pôles économiques, par l'encouragement à la création de sociétés prestataires et par la contribution à la mise en place d'infrastructures. Cosumar assure également des revenus au monde rural grâce à la création d'entreprises prestataires de services agricoles et du travail saisonnier (manutention, transport et autres). Cette vision stratégique permet la dynamisation économique des régions, le maintien des populations au service du développement local (contre l'exode rural), mais surtout la valorisation des investissements stratégiques de l'Etat (barrages, réseau hydroagricole…) avec le développement d'activités connexes à la filière sucrière.