Jean-Marie Le Pen, le président d'honneur du Front national (FN), a de nouveau réitéré, jeudi 2 avril 2015, ses propos, condamnés en justice, sur les chambres à gaz, «détail» de la Seconde Guerre mondiale. Il a assuré n'avoir «à aucun moment» regretté ses déclarations, vieilles de près de trente ans. «Ce que j'ai dit correspondait à ma pensée: que les chambres à gaz étaient un point de détail de la guerre, à moins d'admettre que ce soit la guerre qui soit un détail des chambres à gaz», a-t-il déclaré sur la radio RMC et BFMTV.