Le juge d'instruction près la troisième chambre de la Cour d'appel de Casablanca a repris, dans l'après-midi d'avant-hier, lundi 1er juillet, l'instruction dans l'affaire des membres du réseau d'Al Qaïda démantelé dernièrement par les autorités marocaines. Le juge d'instruction près la troisième chambre de la Cour d'appel de Casablanca a repris, dans l'après-midi d'avant-hier, lundi 1er juillet, l'instruction dans l'affaire des membres du réseau d'Al Qaïda démantelé dernièrement par les autorités marocaines. Lors de cette audience, le juge d'instruction a interrogé seulement Abdellah M'seffer Al Ghamidi. Alors que lors de l'audience du matin, il a interrogé Houraya Hidouri. Selon des sources concordantes, Houraya Hidouri a nié avoir la moindre idée sur Al Qaïda. Alors que A. M. Al Ghamidi a nié avoir une relation avec Al Qaïda. Seulement, il a avoué qu'il était en Afghanistan. Pour son séjour au Maroc, il a précisé au juge d'instruction, toujours selon les mêmes sources,qu'il n'a d'autre raison que le mariage et qu'il avait l'intention de retourner vers l'Arabie Saoudite. L'instruction avec ses deux mis en cause a duré presque toute la journée du lundi. Et le juge d'instruction a fixé l'audience de jeudi pour reprendre son instruction avec Zouhaïr Hilal Mohamed Tabiti et son épouse Bahija Hidouri. Comme ils ont été conduits du complexe pénitentiaire d'Oukacha vers le siège de la Cour d'appel, les sept personnes premièrement arrêtées dans cette affaire, à savoir les trois Saoudiens, Zouhaïr Hilal Mohamed Tabiti, Hilal Jaber Awade Al Assiri et Abdellah Mseffer Al Ghamidi, le Marocain, commerçant de Rabat, Nadiri Mohamed, et les trois filles, Naïma Haroune, Bahija Hidouri et sa sœur Houria, ont été transportées vers la prison sous haute surveillance.