Le professeur Abdelhadi Boutaleb en homme politique et chercheur émérite n'y va pas avec le dos de la cuillère quand on lui évoque le nom de Mandari. Il n'hésite pas une seconde pour réduire ce faussaire attitré à sa juste taille de billet de banque falsifié : «C'est un escroc que je n'ai jamais vu dans l'enceinte du Palais royal». Le professeur Abdelhadi Boutaleb en homme politique et chercheur émérite n'y va pas avec le dos de la cuillère quand on lui évoque le nom de Mandari. Il n'hésite pas une seconde pour réduire ce faussaire attitré à sa juste taille de billet de banque falsifié : «C'est un escroc que je n'ai jamais vu dans l'enceinte du Palais royal». Venant d'un conseiller royal aussi ancré dans l'histoire du Maroc et ayant arpenté les arcanes du palais depuis plus d'un demi-siècle, cet accablant témoignage devrait faire rougir une certaine presse algérienne et espagnole. Celle –même qui a ouvert ses colonnes à un aigrefin qui a eu de graves démêlés avec la justice américaine, française , bahreïnie… La liste n'est pas exhaustive. Une coïncidence programmée a fait que ce malfaiteur notoire soit parrainé par le quotidien espagnol «La Razon» quelques jours seulement après avoir été l'hôte du journal algérien «Al Khabar». Ce qui n'est pas surprenant quand on sait que ces deux publications battent campagne contre le Maroc avec une synchronisation parfaite. On sait que la déontologie ne rime pas avec leurs visées, ni avec celles de leurs commanditaires politiques ou militaires. Mais de là, à s'associer à un malfrat pour le hisser au statut d'opposant politique marocain, relève vraiment de l'irrationnel , voire de la psychiatrie. Abderrahim Bouabid, Abdallah Ibrahim, Ali Yata et tous les autres militants de la gauche n'auraient jamais imaginé qu'un minable de l'acabit de Mandari soit assimilé à un opposant par deux journalistes, l'un algérien et l'autre espagnol. Mais la subjectivité de ces derniers, autant que celle des dirigeants de ces pays dits voisins, est telle qu'ils utilisent tous les moyens illégaux pour attaquer le Maroc et ses institutions. Il ne serait donc nullement étonnant que l'hostilité de ces pseudo-journalistes les pousse à déclarer le narcotrafiquant Mounir Erramach comme étant emprisonné pour un délit d'opinion. D'autant plus qu'aussi bien l'Espagnol Pedro Canales que son confrère algérien, spécialistes de l'anti-journalisme, posent les mêmes questions et recueillent les mêmes réponses. Si ce n'est pas une campagne orchestrée et préméditée, c'est que le Maroc manque vraiment d'opposants pour que ses détracteurs aillent en chercher un dans la délinquance dure. Cette fuite en avant de journalistes malintentionnés a la même finalité que le château de cartes en Espagne ou la recherche des touristes enlevés dans le Sahara, dit algérien, appartenant aux Touaregs. Ce qui est sûr, c'est que Hicham Mandari qui excelle dans la fabrication des attentats contre sa petite personne, rêve de devenir un grand. A tel point qu'il est devenu hystérique jusqu'à vouloir composer avec les islamistes et autres officiers libres fictifs pour arriver au pouvoir. Il faut être fou comme les deux publications algérienne et espagnole pour miser sur un chien enragé. C'est le sort de tous les toquards qui, aveuglés par leur hostilité à l'encontre du Maroc, tablent sur des chimères pour arriver à leurs fins. L'Algérie a échoué en avouant son hégémonisme et le Polisario a été démasqué par sa marraine «France liberté». C'est dire.