C'est la question que se posent les fans de la jeune candidate marocaine qui est rentrée au pays samedi dernier. Nominée à sept reprises, Tahra a su résister aux préjudices portés à son égard durant cette émission de téléréalité, ont soutenu ses adulateurs. Ces accusations se sont confirmées au lendemain du renvoi en cachette de la jeune star du Liban après avoir remporté le minimum de voix lors du dernier prime de l'émission. Contrairement aux autres lauréats, Tahra a regagné le Maroc quelques heures après la fin du spectacle. Conséquences : une minorité d'amis, familles et supporters sont venus l'accueillir. Selon les pro Tahra, il s'agit d'une stratégie implicite que la direction de la Starac a adoptée afin d'entraver tout contact avec une lauréate victime de discrimination incompréhensible. Alors qui complote contre Tahra ? Le hip-hop marocain sur la scène mondiale I love hip-hop in Morocco (J'aime le hip-hop au Maroc), décrit l'expérience vécue de plusieurs musiciens hip-hop de ce pays. Comme tant d'autres artistes, ces jeunes musiciens s'efforcent, tant bien que mal, de se faire entendre et d'exprimer les frustrations qu'ils rencontrent au quotidien. Ils le font à travers le hip-hop. Sous la direction de Joshua Asen et avec l'appui des Etats-Unis à Rabat et de la société américaine Coca-Cola, ce film documente la vie des musiciens, ainsi que les difficultés, logistiques notamment, qu'il a fallu surmonter pour organiser un festival unique en son genre, dont les concerts ont eu lieu dans trois villes marocaines devant plus de 36.000 spectateurs enthousiastes. Joshua Asen a eu ainsi l'occasion de rencontrer et de profiler dans son film Fnaire, Fatishow et autres. Depuis sa réalisation de I Love Hip-Hop in Morocco, M. Asen s'est consacré à promouvoir le dialogue généré par cette musique sur des thèmes de politique et de culture sur le plan international. Son blog, Hip-Hop Diplomacy, suit l'intersection du hip-hop mondial et de la géopolitique, avec un accent sur les musiciens en provenance du Moyen-Orient. Houda Saâd lance deux sigles marocains La chanteuse Houda Saâd réitère sa fidélité envers la chanson marocaine et lance deux singles en collaboration avec l'arrangeur Mourad Gzanay. Il s'agit en premier temps de «Mouhima rasmiya» (Mission officielle). Chantée en duo avec Mourad Gzanay, ce titre raconte la souffrance d'une femme victime d'un mariage arrangé. Elle se voit affronter avec son mari à l'hypocrisie sociale et obliger de dévoiler au public une histoire d'amour virtuelle. Contrairement à la première chanson, «Wayli ha wayli», dévoile la ténacité et le courage d'une jeune demoiselle éperdument amoureuse. Houda, qui se trouve actuellement au Liban pour l'enregistrement de son album, a participé récemment au Festival Awtar. Top Model entre au Guiness Depuis 23 ans que Top Model squatte l'antenne aux Etats-Unis et 21 ans en France. Autant d'années que nous sommes envahis par les aventures des familles Forester, Logan et autres qui cachent des secrets dans la tourmente de luxe dans laquelle elles vivent. Troublant, passionnant, intriguant et feuilletonnant : raison pour laquelle la popularité n'a jamais décliné. La série a d'ailleurs reçu hier le Guiness de la série la plus populaire ! Pour l'occasion, Ronn Moss, Susan Flannery, Katherine Kelly lan, et Ashley Jones étaient réunies, ainsi que l'équipe technique pour célébrer ce nouveau Rewards. Rima Fakih fait parler d'elle aux USA Rima Fakih serait la première Miss musulmane à être élue Miss USA. L'élection de la jeune fille moitié américaine moitié libanaise fait beaucoup parler d'elle.Rima Fakih, 24 ans, a été élue Miss USA 2010 à Las Vegas. Alors qu'elle s'était maladroitement pris les pieds dans sa jolie robe en plein défilé . Elle s'estime fière de revendiquer son titre, puisqu'elle serait la première musulmane à atteindre le statut de Miss USA et ce depuis 58 ans, bien qu'il semble difficile de vérifier vu le peu d'archives. Rima Fakih a déclaré avoir su qu'elle avait remporté le titre quand elle a repéré le comportement de Donald Trump (président de l'élection Miss USA) qui l'a trahie. Rachid El Ouali et Latefa Ahrare convolent en juste noces La scène cinématographique marocaine a célébré dans une ambiance joviale le mariage de deux stars nationales à savoir Rachid El Ouali et Latefa Ahrare. Cette union a été scellée sous la bénédiction de Abdélkabir Rgagna, réalisateur du court-métrage dans lequel Rachid et Latefa interprètent le rôle d'un jeune couple abattu par les contraintes du quotidien. Intitulée «Plastik», cette production a pour thème principal la violence dans toutes ses dimensions physiques, matérielles et sociales. A noter que «Plastik» est la première expérience de réalisation de Abdélkabir Rgagna .