Le parti du progrès et du socialisme (PPS) entamera à partir de ce week-end son périple de communication et de meetings populaires dans plusieurs villes du Royaume, y compris ses zones les plus reculées. Le dimanche, une délégation, composée du secrétaire général du PPS, Mohamed Nabil Benabdellah et des membres du bureau politique du parti, Amine Sbihi, Abdessamad Zemrani et Abdeslam Seddiki, atterrira à Taounate dans la Région de Taza-Taounate-Al Hoceima pour encadrer un meeting populaire qui aura lieu à partir de seize heures. Le même jour, une autre délégation, conduite par Fatima Ferhat, Ali Al Idrissi et Mustapha Addichane, tous membres du BP du PPS, se rendra dans la province d'Azilal pour rencontrer les habitants de la zone et les militants du parti sur place dans le cadre d'une manifestation prévue à 11 heures. Durant ce même dimanche, Mohamed Khoukhchani, membre du PB du PPS ira à la rencontre des habitants de Kelât Seraghna. Un meeting aura lieu dans cette ville à partir de 10 heures. Ces rencontres s'inscrivent dans le cadre de tout un programme de communication mis en place par le parti du «Livre», visant la sensibilisation et la récupération de la confiance des citoyens, dans le but de relever le défi d'une participation massive aux prochaines échéances. Ce programme, qui se poursuivra jusqu'au 19 juin, touchera les villes de Rissani, le 10 juin, Errachidia, le 11 juin, Tinghir, Kelâat Megouna, le 11 juin, Ouarzazate, le 12 juin, la région du Grand Casablanca, le 18 juin et la ville de Fnidek, le dimanche 19 juin. Ces rencontres seront une occasion pour les habitants de ces localités d'exprimer, par leur langage et à leur façon, leurs ambitions, leur vision des choses, leur vécu. Pour écouter, il faut donner la parole. Le Parti du Progrès et du socialisme (PPS) l'a fait avec les jeunes et le fait avec toutes les franges de la société. La parole libre et libératrice. Elle est «libre» dans la mesure où elle se déroule dans un cadre de respect des lois en vigueur et de responsabilité. Elle est «libératrice» tout simplement parce qu'elle permet aux jeunes et moins jeunes de discuter en toute franchise et à leur manière de différents sujets d'actualité politique avec et en face des hommes politiques de poids lourds qui se déplacent à leur rencontre.