L'Algérie, qui est l'instigatrice des récents actes de vandalisme commis à Laâyoune, poursuit aujourd'hui à travers sa télévision et tous ses canaux médiatiques officiels, sa guerre contre le Maroc par la diffusion d'informations erronées et biaisées soigneusement préparées par des architectes de la propagande qui choisissent ses termes et ses expressions dans le dictionnaire de la haine avant de les tremper dans l'encre de la rancune. Après les événements de Laâyoune orchestrés par des bandes criminelles aux antécédents judiciaires, téléguidées par l'Algérie et sa création «le polisario», et qui ont commis des tueries atroces et lynché et souillé des cadavres de certains éléments des forces publiques qui sont intervenues de manière légale et pacifique pour démanteler le camp de «Gdim Izik» dans la banlieue de la ville marocaine de Laâyoune, l'Algérie persiste dans son escalade et son agression contre le Maroc, et ses visées expansionnistes et coloniales révolues, au dépend de l'unité territoriale du Royaume. Avec une répartition bien pensée des rôles, entre les médias officiels de l'Algérie, dans la campagne anti-Maroc, la télévision algérienne a procédé, par le biais de sa 3ème chaîne, à la diffusion jeudi d'un rapport dans lequel elle prétend que «des enfants ont fait l'objet d'attaque dans les écoles de la wilaya de Smara (...) et des dizaines d'entre eux sont décédés à cause de blessures graves». Et comme la télévision algérienne est fidèle à la pratique du journalisme de mensonge et de falsification des faits, la 3ème chaîne a diffusé son rapport falsifié de son (envoyé) aux «camps des réfugiés dans «la wilaya d'Aousred» et elle vise, bien sûr, les camps des sahraouis marocains détenus contre leur gré dans les camps de Tindouf sur le territoire algérien», une telle situation est connue et est condamnée du point de vue du droit international, mais la télévision algérienne a décidé, avec préméditation, de mentir, d'abord aux citoyens algériens, qui savent bien que les camps des détenus sahraouis marocains se trouvent sur le territoire algérien. Il faut dire, puisque la télévision algérienne pratique le journalisme de proximité à sa manière, pourquoi elle n'a pas montré les images des matraques utilisées par les éléments de la police contre les citoyens algériens dans un quartier de la capitale de l'Algérie alors qu'ils revendiquaient un logement décent. Pourquoi alors elle n'a pas diffusé les images de ces citoyens qui se plaignent, les larmes aux yeux, à la presse internationale des autorités algérienne qui ont démoli leurs maisons, les laissant sans abri en pleine saison hivernale. Il aurait été préférable pour la télévision algérienne de diffuser en exclusivité les images de ces événements douloureux et tragiques qui ont lieu dans un pays qui vit dans l'aisance que lui procure les revenus du pétrole et du gaz, au lieu de laisser le citoyen algérien les suivre sur les chaînes de télévision internationales. Mais puisque la télévision algérienne est expert dans les sorties médiatiques retentissantes, et compte à son actif de nombreux scoops, ridicules et répugnants, elle a diffusé des images, qu'il qualifie d'exclusives, sur la «nouvelle attaque» à Smara. Si les architectes de la propagande effrénée contre le Maroc dans les médias officiels algériens avaient le moindre sentiment de pudeur, ils auraient dû s'abstenir de diffuser des images fabriqués d'un événement qui n'a jamais eu lieu, mais ils n'ont pas honte puisqu'ils exécutent un plan, ils exécutent le même crime que celui commis par la presse espagnole en diffusant des images truquées des événements de Laâyoune, et ce genre de presse est connu chez les régimes totalitaires autoritaires révolus, c'est bien la presse des allégations et de supercherie qui ne cesse de recourir aux mensonges quand les preuves lui font défaut. Tous ceux qui ont regardé ou lu le faux rapport diffusé par la télévision officielle algérienne, par le biais de 3ème chaîne, ne se sont pas rendus compte qu'il ressemble à un «communiqué de l'armée», et il l'est dans la mesure où il renferme des expressions militaires, telles que «agression, mutinerie, décès de dizaines à cause de blessures graves, politique sauvage etc. mais ce «communiqué de l'armée» que ses architectes ont fait passer pour «un rapport de presse» va jusqu'à qualifier, dans un style de guerre, des éléments criminels, une bande de fauteurs de troubles et de tueurs qui sont recherchés, de «résistants». Avec ces agissements, les architectes de la propagande dans la télévision algérienne officielle pensent qu'ils peuvent inventer facilement des mensonges contre le Maroc. Il faut admettre, à la fin, que la troisième chaîne de la télévision algérienne officielle, ridicule et dégoutante au plan journalistique, éprouve une haine profonde à l'égard du Maroc.