Le dernier fameux congrès de la fantomatique «rasd» restera dans les annales de l'histoire des droits humains. En effet, les séparatistes ont fait adopter, en catimini, une résolution autorisant les mariages forcés des femmes, mêmes mineures ! Avec cette mascarade, qui interpelle à plus d'un titre, la boucle est ainsi bouclée dans les camps. La loi de la jungle, sous toutes ses formes. Et voilà une population séquestrée, affamée, humiliée et dont tous les droits sont violés. Par cette manœuvre, les séparatistes et leurs commanditaires du palais d'El Mouradia cherchent à repeupler les camps par des «grossesses forcées». Un coup dur à l'humanité. La communauté internationale est appelée à réagir immédiatement et vigoureusement pour mettre à nu ces pratiques du «polisario» qui fait des malheurs des séquestrés son fonds de commerce. Des aides humanitaires chiffrées à plusieurs millions de dirhams sont détournées. Des connexions avec des groupes terroristes et autres trafiquants en tout genre dans la région ne sont plus à démontrer. Des violations des droits humains sont monnaie-courante et viennent d'être encore aggravées par ce mariage forcé des mineures. Le tableau est on ne peut plus noir. Et les généraux d'Alger continuent de manœuvrer pour que ce conflit artificiel autour du Sahara marocain dure et perdure. Ils ont ainsi toujours refusé le recensement de la population de Tindouf, pourtant décidé par le conseil de sécurité de l'ONU. Ils ont toujours financé des campagnes à l'échelle mondiale pour ternir l'image du Maroc, en déboursant des millions de dollars. Aujourd'hui, ils veulent «repeupler» les camps en inventant cette mascarade de mariages forcés des femmes, veuves et mineures, pour préserver, d'un côté, un fonds de commerce pour les séparatistes, et maintenir toujours, de d'un autre côté, une carte pour entraver le processus de l'autonomie du Sahara sous souveraineté marocaine.