Les nouvelles vont vite de la surenchère dont fait l'objet le joueur Boukhriss qui, jusqu'à maintenant, n'est ni Rajaoui, ni Widadi et moins encore Fussiste. Puisque le joueur appartient toujours au Standard qui l'a prêté au FUS jusqu'à la fin de la saison écoulée et sans l'aval liégeois aucun transfert ne peut se faire. Tout ça est la conséquence de certaines déclarations hasardeuses émanant de l'entourage de Boukhriss qui font état des exigences financières de son manager allant de 300 millions de centimes à 500 millions. C'est beaucoup pour un joueur qui aurait coûté aux clubs demandeurs 0 cent, s'ils avaient traité le transfert directement avec le Standard de Liège. Car, il y a 10 jours, on a demandé au manager du Standard M. Jean François de Sart de nous renseigner sur les conditions de transfert de Boukhriss, il nous a dit texto: «Ce qui est important pour nous est de nous libérer d'une charge salariale et si on peut récupérer une partie de notre investissement on ne demande pas mieux, sinon il peut partir Gratos». A signaler que dans cette équation difficile, Boukhriss continue toujours à percevoir son salaire au club liégeois, tant que rien n'a été conclu ailleurs. Voilà pourquoi il ne faut jamais jurer de rien. Affaire à suivre...