Prendre le melon. Un fermier de Murcia a conduit les 2700 km menant au quartier général de la +Roja+ en Pologne pour livrer... 500 melons. Visiblement ravis de la livraison, les champions d'Europe et du monde ont partagé leur butin avec les représentants de la presse ibérique. Alors melon porte-bonheur ? Réponse dès jeudi lorsque l'Espagne, tenue en échec par l'Italie (1-1), tentera de décrocher sa première victoire contre l'Irlande. Frayeur. Le sélectionneur de l'équipe de Belgique, Marc Wilmots, présent en Ukraine en qualité de consultant pour la télévision publique belge s'est fait un grosse frayeur, dimanche à Kiev. Le Tupolev a été pris dans un violent orage au moment de l'atterrissage. "L'avion tanguait dans tous les sens. A une centaine de mètres du sol, le pilote a remis les gaz. L'avion a finalement atterri à Dnipropetrovsk avant de revenir plus tard à Kiev", a expliqué Wilmots à des médias belges. Quelques minutes après cet incident, un autre avion transportant des parachutistes ukrainien s'écrasait dans la région de Kiev en raison d'un violent orage. L'accident a fait cinq morts. Racisme. Le sélectionneur de l'Italie Cesare Prandelli, a nié catégoriquement que l'attaquant Mario Balotelli ait été victime d'insultes racistes, dimanche contre l'Espagne à Gdansk. "C'est absolument faux", a déclaré l'entraîneur après qu'un journal britannique se soit fait l'écho de prétendus cris de singe adressés par des supporters espagnols au turbulent Balotelli. Cela n'a pas empêché l'UEFA de lancer mardi, une enquête sur ce cas de racisme présumé. Hymne. Si Tomas Rosicky, capitaine de la République tchèque ne chante pas l'hymne national, le "Kde domov muj?" (Où est ma patrie?), c'est par superstition. "Je ne l'ai pas chanté depuis longtemps, explique-t-il, je le chante dans ma tête. Je suis superstitieux, quand j'étais jeune je le chantais, et nous perdions chaque fois! Ce n'est pas parce que ne je ne veux pas le chanter". Ego contre Lego. La victoire samedi du Danemark sur les Pays-Bas (1-0) a été commentée avec ironie par des médias belges, souvent moqueurs vis-à-vis de leurs voisins néerlandais. Le site de la télévision flamande Sporza titrait 'Legoland 1, Egoland 0", en référence aux guerres d'ego qui perturbent souvent la sélection néerlandaise et la célèbre marque danoise de jouets, Lego. Fausse identité. Anthony Réveillère, l'arrière droit de Lyon était titularisé dans la défense de l'équipe de France contre l'Angleterre lundi. Du moins si l'on se fiait au commentateur de la chaîne ukrainienne qui diffusait la partie: pendant les vingt premières minutes, il a systématiquement parlé d'"Anthony Réveillère" lorsque Adil Rami et surtout Mathieu Debuchy touchaient le ballon. Alors que le vrai Réveillère était bien sur le banc des remplaçants... Un gros plan de Debuchy de dos a mis fin à cette originalité du commentaire. Ame russe. Le milieu de terrain Xabi Alonso pourrait bientôt quitter l'Espagne pour la Russie si l'on en croît ses goûts vestimentaires. Le joueur du Real a en effet posté sur son twitter, une photo du maillot russe avec ce commentaire elliptique: 'l"équipement russe, c'est de la qualité". Certes le maillot russe qui ressemble comme deux gouttes d'eau à celui de la Roja, pourrait expliquer ce soudain accès de russophilie. Eloge. L'ex-sélectionneur de l'Angleterre, Sven-Goran Eriksson a fait l'éloge de Steven Gerrard et ses coéquipiers après leur match nul lundi contre la France (1-1). A la tête de l'équipe aux Trois Lions de 2001 à 2006, le technicien a estimé que l'Angleterre avait fait "mieux que bien" face aux Français, "les favoris du groupe", selon lui. "Les choses semblent absolument corrects en attaque mais c'est le bloc défensif qui est la chose la plus importante dans le jeu anglais." Sera-t-il aussi enthousiaste après le match de l'Angleterre contre la Suède, son pays d'origine? Vamos Rafa. Fans de sports en tous genres, la plupart des joueurs de l'équipe d'Espagne ont suivi lundi avec passion le septième sacre à Roland-Garros du tennisman espagnol Rafael Nadal face à Djokovic. "C'est un exemple pour tout ce qu'il a montré et une fierté pour l'Espagne. C'est à n'en pas douter un des meilleurs sportifs de toute l'histoire du sport espagnol, voire le meilleur", s'est enthousiasmé Busquets en conférence de presse, secondé par Navas. "Force, détermination, technique, il a tout", s'est extasié l'ailier du FC Séville.