A l'occasion de cette Conférence ministérielle de Marrakech, le monde des affaires MENA-OCDE, comprenant le Comité consultatif économique et industriel auprès de l'OCDE, la CGEM et d'autres associations d'entreprises, Chambres de commerce et représentants d'entreprises privées actives dans la région MENA, ont présenté une déclaration finale. Dans cette déclaration, le monde des affaires MENA-OCDE félicite les gouvernements de la région MENA et de l'OCDE par rapport aux progrès effectués en matière de réformes de leurs politiques de l'investissement, ces réformes ayant permis une augmentation des flux d'investissement direct étranger, une croissance régulière du PIB et la création de l'emploi au cours de la dernière décennie. Cependant, lit-on toujours dans la déclaration, cette tendance positive a subi les effets négatifs de la crise économique mondiale actuelle. « Plusieurs pays de la région MENA et de l'OCDE sont confrontés à des difficultés en raison de changements dans l'environnement économique, et certains pays ont adopté des mesures protectionnistes qui réduisent la liberté d'investissement et le mouvement de capitaux et de marchandises. Les mesures de ce type renforcent les effets négatifs de la crise en augmentant l'imprévisible et l'incertitude pour les entreprises et en décourageant l'investissement étranger », déclare le monde des affaires OCDE-MENA, ajoutant que « dans l'intérêt commun des économistes de la région MENA et de l'OCDE, les mesures protectionnistes de ce type doivent être évitées. Une ouverture au commerce et à l'investissement représente un élément essentiel permettant d'assurer un environnement favorable à une croissance économique durable ». Afin d'enrayer les effets négatifs de la crise économique, et de réaliser une croissance économique durable, le monde des affaires OCDE-MENA recommande aux gouvernements une série de mesures. Il s'agit, entre autres, de s'abstenir de mettre en place de nouvelles barrières au commerce et à l'investissement. La seconde recommandation a trait à l'encouragement de l'intégration commerciale entre les pays de la région MENA afin de maximiser leur potentiel économique, en se concentrant sur la réduction des droits de douane et le développement de politique pour la promotion des exportations. Il s'agit aussi d'améliorer l'accès au financement, particulièrement pour les PME, et planifier des stratégies de sortie, en consultation avec le monde des affaires. Ce dernier recommande, en outre, à ce que l'investissement privé dans les infrastructures de pointe pour les citoyens (télécommunications, électricité…) soit favorisé. Sur le plan fiscal, il est recommandé à ce qu'un système fiscal attrayant, juste et équitable, se développe. De son côté, le monde des affaires MENA-OCDE s'engage à « soutenir les efforts des gouvernements visant à améliorer l'environnement des affaires dans la région pour une reprise économique durable faisant suite à la crise économique actuelle ». Il s'engage également à « promouvoir un comportement responsable des entreprises et des initiatives en matière de gouvernement d'entreprise en dialoguant sur les meilleures pratiques et en élaborant des approches sectorielles communes ». Il s'engage aussi à « « promouvoir des partenariats public-privé efficaces à l'appui du développement » et à « soutenir et encourager l'échange de technologies et d'expertise entre les pays de l'OCDE et de la région MENA afin de favoriser l'innovation, avec une protection adéquate des droits de propriété intellectuelle. » un environnement favorable à une croissance économique durable ». Afin d'enrayer les effets négatifs de la crise économique, et de réaliser une croissance économique durable, le monde des affaires OCDE-MENA recommande aux gouvernements une série de mesures. Il s'agit, entre autres, de s'abstenir de mettre en place de nouvelles barrières au commerce et à l'investissement. La seconde recommandation a trait à l'encouragement de l'intégration commerciale entre les pays de la région MENA afin de maximiser leur potentiel économique, en se concentrant sur la réduction des droits de douane et le développement de politique pour la promotion des exportations. Il s'agit aussi d'améliorer l'accès au financement, particulièrement pour les PME, et planifier des stratégies de sortie, en consultation avec le monde des affaires. Ce dernier recommande, en outre, à ce que l'investissement privé dans les infrastructures de pointe pour les citoyens (télécommunications, électricité…) soit favorisé. Sur le plan fiscal, il est recommandé à ce qu'un système fiscal attrayant, juste et équitable, se développe. De son côté, le monde des affaires MENA-OCDE s'engage à « soutenir les efforts des gouvernements visant à améliorer l'environnement des affaires dans la région pour une reprise économique durable faisant suite à la crise économique actuelle ». Il s'engage également à « promouvoir un comportement responsable des entreprises et des initiatives en matière de gouvernement d'entreprise en dialoguant sur les meilleures pratiques et en élaborant des approches sectorielles communes ». Il s'engage aussi à « « promouvoir des partenariats public-privé efficaces à l'appui du développement » et à « soutenir et encourager l'échange de technologies et d'expertise entre les pays de l'OCDE et de la région MENA afin de favoriser l'innovation, avec une protection adéquate des droits de propriété intellectuelle. »