Marrakech, la ville ocre, aux mille et un charmes, a donné naissance dans la vieille médina d'un des plus fervent dirigeant et supporter du Kawkab de père en fils, en l occurrence Mustapha Smirès qui ne peut que se féliciter de la confiance placée en lui durant l'époque du président Haj Mohamed Mediouri. Grâce à son sérieux et professionnalisme, Smirès a su mener à bon port les destinées du KACM durant les annales 90.
Il faut dire qu'il a été taillé pour l'accomplissement de ce genre de missions.
Les performances du KACM durant cette ère ont fait le tour de notre championnat.
Mustapha Smirès a été l'influent président délégué du KACM pendant la période d'or du Haj Mohamed Mediouri, et il a été aussi couronné avec le club bahjaoui de la Coupe de la Confédération africaine en 1996 après avoir vaincu l'Etoile Sahel de Tunisie.
Mustapha Smirès fut félicité par tous les fans et surtout par Haj Mohamed Mediouri, pour le professionnalisme dont il a fait preuve tout au long de son passage au KACM.
Smirès veillait au grain !
Il était au four et au moulin. Infatigable, il n'hésite pas à veiller tard dans la nuit, pour rendre visite aux joueurs et aux responsables de l'équipe.
Il était pour beaucoup dans la réussite et les performances du KACM.
Sur le terrain, tel un père, il était toujours près des joueurs, attentif au moindre de leurs problèmes.
Homme de cœur, Smirès est doué d'une intelligence aiguë doublée d'une vivacité d'esprit peu commune. Sourire, charmeur et visage avenant.
Encore faut-il signaler que Mustapha Smirès a gardé l'amour du KACM au fond de son cœur. Il suit avec impatience ses informations ainsi que le déroulement de ses rencontres tout en lui souhaitant un nouvel éclat afin de trouver ses gloires d'antan.
Le KACM mérite, selon Smirès, une place au sein de l'élite. Et tous les problèmes et difficultés qui se dressent sur le chemin du club doivent être surmontés.
Sans doute, Marrakech a une place particulière dans le système de football de notre pays depuis longtemps jusqu'à nos jours.
Enfin, si Marrakech avait la chance d'avoir un homme pareil à la tête du KACM... Ah ! s'il y avait dix personnes comme lui, le KACM aurait pu devancer de loin les meilleures équipes du continent africain !