En cette année 2022, cela fait précisément 40 ans que la Coupe du monde s'est déroulée sur le sol espagnol, à laquelle 24 équipes sélectionnées ont participé et dans laquelle les 'Azzurri' ont régné, avec une brillante performance de Paolo Rossi. Le Santiago Bernabéu braque en ce moment tous les regards sur le monde du football, qui attend la fin des travaux pour voir pleinement la « nouvelle maison » du Real Madrid.
Le stade merengue bénéficie d'une telle couverture médiatique dans le monde entier que la Fédération royale espagnole de football le tire comme la grande prétention de remporter l'organisation de la Coupe du monde 2030, dans une candidature conjointe entre l'Espagne et le Portugal.
Le Bernabéu, qui a déjà accueilli la finale de la Coupe du monde 82, entre l'Italie et l'Allemagne de l'Ouest, a été proposé par la RFEF comme lieu de la finale de Coupe du monde 2030, selon la presse madrilène.
Camp Nou et Cornellá, à Barcelone, Bernabéu et Metropolitan, à Madrid, La Cartuja à Séville, La Nueva Condomina, à Murcie, le Stade Gran Canaria à Las Palmas, La Rosaleda à Malaga, Mestalla, à Valence, San Mamés à Bilbao, Anoeta, à Saint-Sébastien, La Romareda à Saragosse, El Molinón à Gijón et Riazor à La Corogne, sont les 14 stades que la Fédération royale espagnole de football, présidée par Luis Rubiales, a nominés.
De plus, le "nouveau" stade Santiago Bernabéu, parmi les sites proposés, est le grand favori pour accueillir la grande finale du tournoi, au cas où la FIFA choisirait l'Espagne et le Portugal comme organisateurs de la Coupe du monde 2030.
L'autre candidature, qui rivalisera avec la proposition ibérique commune, est celle de l'Argentine, de l'Uruguay, du Paraguay et du Chili, quatre pays qui postuleront pour commémorer la première Coupe du monde de l'Histoire, disputée dans le pays de Charrúa qui aurait 100 ans.