Naples peut encore croire à son troisième titre de champion d'Italie et son premier sans Diego Maradona dans ses rangs. Victorieux (1-0) sur le terrain de la Juventus grâce à un but en toute fin de match du défenseur central Kalidou Koulibaly (90e), les Azzurri reviennent à un point des Turinois, toujours premiers, à quatre journées de la fin du Championnat. Seule bonne nouvelle pour les joueurs de Massimiliano Allegri : la différence de buts particulière entre les deux équipes étant nulle, le titre se décidera à la différence de buts générale, qui leur est largement favorable, en cas d'égalité. Ceux de Maurizio Sarri, toujours aussi brillants dans la construction et étouffants dans leur pressing, ont dominé la rencontre à tous les points de vue. Ils ont empêché leur adversaire d'effectuer le moindre tir cadré, une première pour eux dans un match de Serie A à l'Allianz Stadium, limitant les occasions turinoises à un coup franc de Miralem Pjanic dévié sur le poteau (17e). Et se sont créés plusieurs occasions nettes. Le manque de précision de Marek Hamsik (24e, 52e, 55e) puis les mains fermes de Gianluigi Buffon face à Piotr Zielinski (83e) et Lorenzo Insigne (89e) ont longtemps permis à la Juventus de tenir bon. Le coup de tête puissant de Koulibaly sur corner est venu délivrer les tifosi napolitains, autorisés pour la première fois depuis quatre ans à assister à l'affiche.Jorginho, chef d'orchestre discret mais si précieux Jorginho est loin d'être le joueur le plus connu du Napoli, où le trio offensif Hamsik-Insigne-Mertens prend souvent toute la lumière. Mais l'international italien d'origine brésilienne a livré un nouveau match de très haut niveau. Au cœur du système de Sarri, fait de passes courtes et rapides, il est le point commun entre tous les triangles de jeu qui se forment entre les Napolitains. Il a tenté 113 passes ce soir, soit 38 de plus que tout autre joueur sur le terrain. Victorieux (1-0) sur le terrain de la Juventus grâce à un but en toute fin de match du défenseur central Kalidou Koulibaly (90e), les Azzurri reviennent à un point des Turinois, toujours premiers, à quatre journées de la fin du Championnat. Seule bonne nouvelle pour les joueurs de Massimiliano Allegri : la différence de buts particulière entre les deux équipes étant nulle, le titre se décidera à la différence de buts générale, qui leur est largement favorable, en cas d'égalité. Ceux de Maurizio Sarri, toujours aussi brillants dans la construction et étouffants dans leur pressing, ont dominé la rencontre à tous les points de vue. Ils ont empêché leur adversaire d'effectuer le moindre tir cadré, une première pour eux dans un match de Serie A à l'Allianz Stadium, limitant les occasions turinoises à un coup franc de Miralem Pjanic dévié sur le poteau (17e). Et se sont créés plusieurs occasions nettes. Le manque de précision de Marek Hamsik (24e, 52e, 55e) puis les mains fermes de Gianluigi Buffon face à Piotr Zielinski (83e) et Lorenzo Insigne (89e) ont longtemps permis à la Juventus de tenir bon. Le coup de tête puissant de Koulibaly sur corner est venu délivrer les tifosi napolitains, autorisés pour la première fois depuis quatre ans à assister à l'affiche.Jorginho, chef d'orchestre discret mais si précieux Jorginho est loin d'être le joueur le plus connu du Napoli, où le trio offensif Hamsik-Insigne-Mertens prend souvent toute la lumière. Mais l'international italien d'origine brésilienne a livré un nouveau match de très haut niveau. Au cœur du système de Sarri, fait de passes courtes et rapides, il est le point commun entre tous les triangles de jeu qui se forment entre les Napolitains. Il a tenté 113 passes ce soir, soit 38 de plus que tout autre joueur sur le terrain.