Le Maroc attend d'autres experts de la Fifa dans le cadre de sa candidature pour le Mondial 2026. D'autres experts de la Fifa sont attendus «la semaine prochaine» au Maroc, candidat à l'organisation du Mondial 2026 face au trio USA-Canada-Mexique, pour examiner la capacité hôtelière et les infrastructures sportives du pays. Cette visite fera suite à celle d'un groupe d'évaluation de la Fifa cette semaine, a indiqué vendredi le président du comité de candidature marocain pour le Mondial 2026, Moulay Hafid Elalamy.
Cette mission, de lundi à jeudi, a couvert cinq villes et connu quelques changements par rapport au programme initialement prévu, a souligné le dirigeant lors d'un point presse. Le groupe de travail a posé des questions sur «la fiabilité des projections pour l'hébergement» ou encore «les plans de reconversion des stades modulaires», a précisé celui qui est également ministre de l'Industrie.
Le vote prévu en juin Les membres de la Fifa ont «montré de l'admiration pour notre dossier» mais ont «émis quelques remarques sur la non-conformité d'une partie des stades (...) Nos experts sont en train d'échanger avec la Fifa», a souligné le président du comité. «La Fifa va envoyer la semaine prochaine au Maroc des experts plus pointus pour échanger avec nous sur les solutions proposées en matière de stades et d'hébergement», a-t-il poursuivi. Ces visites de la Fifa interviennent trois semaines après des critiques de la Fédération marocaine de football (FRMF) sur le système de notation et les critères techniques retenus par la Fifa pour la sélection du pays-hôte pour 2026. Depuis, des observateurs et médias marocains se disent «inquiets» des larges pouvoirs de la Task Force, la structure créée par la Fifa pour évaluer les pays-hôtes. Elle peut, en théorie, écarter une candidature avant le vote prévu en juin.
Candidat malheureux, quatre fois, à l'organisation du Mondial (1994, 1998, 2006 et 2010), le Maroc a pré-sélectionné, pour sa cinquième campagne, 12 villes-hôtes, et il prévoit 12 stades, dont cinq modulables. Avec sa candidature, il espère être le second pays africain, après l'Afrique du Sud en 2010, retenu pour accueillir la Coupe du monde. D'autres experts de la Fifa sont attendus «la semaine prochaine» au Maroc, candidat à l'organisation du Mondial 2026 face au trio USA-Canada-Mexique, pour examiner la capacité hôtelière et les infrastructures sportives du pays. Cette visite fera suite à celle d'un groupe d'évaluation de la Fifa cette semaine, a indiqué vendredi le président du comité de candidature marocain pour le Mondial 2026, Moulay Hafid Elalamy.
Cette mission, de lundi à jeudi, a couvert cinq villes et connu quelques changements par rapport au programme initialement prévu, a souligné le dirigeant lors d'un point presse. Le groupe de travail a posé des questions sur «la fiabilité des projections pour l'hébergement» ou encore «les plans de reconversion des stades modulaires», a précisé celui qui est également ministre de l'Industrie.
Le vote prévu en juin Les membres de la Fifa ont «montré de l'admiration pour notre dossier» mais ont «émis quelques remarques sur la non-conformité d'une partie des stades (...) Nos experts sont en train d'échanger avec la Fifa», a souligné le président du comité. «La Fifa va envoyer la semaine prochaine au Maroc des experts plus pointus pour échanger avec nous sur les solutions proposées en matière de stades et d'hébergement», a-t-il poursuivi. Ces visites de la Fifa interviennent trois semaines après des critiques de la Fédération marocaine de football (FRMF) sur le système de notation et les critères techniques retenus par la Fifa pour la sélection du pays-hôte pour 2026. Depuis, des observateurs et médias marocains se disent «inquiets» des larges pouvoirs de la Task Force, la structure créée par la Fifa pour évaluer les pays-hôtes. Elle peut, en théorie, écarter une candidature avant le vote prévu en juin.
Candidat malheureux, quatre fois, à l'organisation du Mondial (1994, 1998, 2006 et 2010), le Maroc a pré-sélectionné, pour sa cinquième campagne, 12 villes-hôtes, et il prévoit 12 stades, dont cinq modulables. Avec sa candidature, il espère être le second pays africain, après l'Afrique du Sud en 2010, retenu pour accueillir la Coupe du monde.