La tenue de la Coupe du monde de la FIFA 2026 au Canada, aux Etats-Unis et au Mexique pourrait générer jusqu'à 5 milliards de $ en retombées économiques en Amérique du Nord, selon une étude commandée par le Comité de candidature unie au Boston Consulting Group (BCG). Le bénéfice net pourrait même s'élever à 3 ou 4 milliards $, d'après l'étude du BCG qui a été diffusée jeudi. Chaque ville hôte profiterait d'un surplus de 90 à 480 millions $. «Comme cette étude le démontre, notre accueil commun de la première Coupe du monde de la FIFA à 48 équipes aurait des retombées bénéfiques pour nos trois nations et la communauté mondiale de soccer», a affirmé Peter Montopoli, directeur de la candidature pour le Canada et secrétaire général de Canada Soccer, par voie de communiqué. «La candidature d'Unis 2026 représente le plus grand marché commercial du monde, offrant l'opportunité de retombées économiques et sociales substantielles pour nos villes hôtes et pour la FIFA, et fournissant la stabilité nécessaire pour propulser le football mondial vers l'avant pour les années à venir», a indiqué Yon De Luisa, directeur de la candidature pour le Mexique. BCG soutient que l'événement pourrait créer près de 40 000 emplois en Amérique du Nord. Selon la firme-conseil, chaque ville hôte pourrait s'attendre à une croissance économique de 160 à 620 millions $. Avantageuse pour tous Le Comité de candidature unie estime que son offre est non seulement attrayante pour les Nord-Américains, mais aussi pour la FIFA. «Unis 2026 offre des stades modernes qui sont déjà construits, des équipes de gestion d'expérience dans chacune des villes hôtes proposées, ainsi que de l'hébergement moderne et des systèmes de transport en commun intégrés dans toutes nos villes hôtes, a expliqué John Kristick, directeur général du Comité de candidature Unis 2026. «Notre héritage est déjà en place, au travail, et non pas sur la planche à dessin. Cela donne à nos villes hôtes et à la FIFA un niveau de certitude jamais vu lors des Coupes du monde de la FIFA précédentes. Et cela nous permet de mettre l'accent sur l'organisation du meilleur événement possible, pour la prospérité de la FIFA», a conclu Kristick. Le bénéfice net pourrait même s'élever à 3 ou 4 milliards $, d'après l'étude du BCG qui a été diffusée jeudi. Chaque ville hôte profiterait d'un surplus de 90 à 480 millions $. «Comme cette étude le démontre, notre accueil commun de la première Coupe du monde de la FIFA à 48 équipes aurait des retombées bénéfiques pour nos trois nations et la communauté mondiale de soccer», a affirmé Peter Montopoli, directeur de la candidature pour le Canada et secrétaire général de Canada Soccer, par voie de communiqué. «La candidature d'Unis 2026 représente le plus grand marché commercial du monde, offrant l'opportunité de retombées économiques et sociales substantielles pour nos villes hôtes et pour la FIFA, et fournissant la stabilité nécessaire pour propulser le football mondial vers l'avant pour les années à venir», a indiqué Yon De Luisa, directeur de la candidature pour le Mexique. BCG soutient que l'événement pourrait créer près de 40 000 emplois en Amérique du Nord. Selon la firme-conseil, chaque ville hôte pourrait s'attendre à une croissance économique de 160 à 620 millions $. Avantageuse pour tous Le Comité de candidature unie estime que son offre est non seulement attrayante pour les Nord-Américains, mais aussi pour la FIFA. «Unis 2026 offre des stades modernes qui sont déjà construits, des équipes de gestion d'expérience dans chacune des villes hôtes proposées, ainsi que de l'hébergement moderne et des systèmes de transport en commun intégrés dans toutes nos villes hôtes, a expliqué John Kristick, directeur général du Comité de candidature Unis 2026. «Notre héritage est déjà en place, au travail, et non pas sur la planche à dessin. Cela donne à nos villes hôtes et à la FIFA un niveau de certitude jamais vu lors des Coupes du monde de la FIFA précédentes. Et cela nous permet de mettre l'accent sur l'organisation du meilleur événement possible, pour la prospérité de la FIFA», a conclu Kristick.