Certains écrivains intellectuels font allusion à la polémique : science et vulgairo-populaire. Le débat persistera toujours en confusion, ambiguïté généralement. La science, aux dimensions, ne connaîtrait guerre des limites ni confins. Pour cette raison et autre sous-entendus il faudrait laisser la porte ouverte, sans bornes ni rétrécissement, à toute polémique et discours tempéré. Sinon, nous serions les plus stupides scientifiques connus du monde, car nous aurons condamné la science elle-même à l'agonie ou plutôt la mort clinique. La science, surtout expérimentale, précisément médicale, était toujours construite sur des fragments informatiques accumulés les uns sur les autre pour donner un principe universel ou un résumé global, sur lequel se réfère l'action et réaction. Pour cela il faudrait inclure la connaissance vulgaire ainsi que populaire, dans le domaine médical, comme un stock brut d'informations momentanées ou léguées populairement depuis des siècles et des dizaines d'années, qui étaient valables dans la plupart des applications. Cela devrait constituer une dimension scientifique, soit principale ou marginale pour la médecine moderne. Alors, Il sera intolérable de l'éliminer avec une telle absurdité, sous prétexte de modernisation et accaparement médicale. Si par exemple un homme vulgairo-citoyen, réclamait ou déclarait sa propre guérison suite à l'utilisation de tel ou tel médicament, nettement brut et naturel, comme une herbe ou une substance minérale, il faudrait donc prendre sa parole au sérieux, lui prêter toute l'attention ; car cela fait partie de la pure science et conscience. Il sera donc nécessaire d'enregistrer cette information afin de la soumettre à la recension microscopique, scientifique. Si cette revendication était convenable à la règle médicale nous serions donc obligés de l'adopter soit qui se soit l'inventeur. Plus que çà, il faudrait l'inclure dans les dictionnaires médicaux, tels que Vidal, formulaire thérapeutique etc. similaire à l'encyclopédie Genèse. Ce refus, malgré les singes probants et véridiques, fait alarme qu'il y a eu une défaite sérieuse à la formation scientifique d'un tel médecin, handicapé quand même, et qu'il n'est qu'un simple porteurs de leçons bourrés de notes et citées en monotonie, rien de plus. C'est de la science sans dimensions valides, alors ! La méthode scientifique, purement académique , consiste à amasser tous les renseignements et informations, même s'elles sont incertaines. c'est à l'inverse des choses qu'on distingue le juste du faut. Comment nous nous autorisons prendre les notes depuis un simple animal par contre on refuse celles en provenance d'un être humain ? N'est-ce pas illogique et curieux de prendre une telle attitude ? Comme ça, nous allons rétrécir les veines scientifiques intentionnellement, gêner le progrès médicaux sans raison valable. Qui y a-t-il de mal si on prête attention à un citoyen, même apparemment ignorant, surtout un paysan villageois en provenance d'une forêt ou d'une montagne ? Peut-être il a quelques chose de sensé à raconter, peut-être il a des observations nettement naturelles, qu'un médecin citadin, fragile, n'arrivera jamais à constater directement ou en plein air ! N'est-ce pas là un proverbe médical qui disait : « l'air frais rafraîchi l'esprit » ? Ce paysan-ci a vraiment un esprit rafraîchit de nature, il est en contact direct avec la nature et les animaux qui font source important très importante de la science, ses organes de sens sont plus sains et solides que les citadins. donc il faut entendre à ce qu'il dit et raconte de près. Un oiseau en cage vaut mieux que mille en ciel. Une expérience simple, naturelle, à la portée de la main coûte plus chère qu'autre très compliquée et risquée, en outre redoutable ! Les principes caractérisant la médecine surnommée vulgair-populaire se traduiront en simplicité probante, La concrétisation pragmatique, qui aboutiront au réel absolu ! Ce réel n'est en fin que la guérison, ou plutôt l‘heureux soulagement du patient. Il y a eu, des médecins, rarement objectifs, qui adopteraient cette opinion, mettant la médecine populaire à l'égard. Certains d'entre eux ont allé jusqu'y rédiger des livres. L'un d'entre eux, est le docteur JARVIS , c'est un américain ; USA, qui vivait à VERMONT, suivait ses études à l'université Burlington, et a rédigé, après sa longue carrière médicale, un livre intitulé : « la médecine populaire ». Cet uvre n'est en réalité qu'un registre bourré d'expériences populaires, animales également, qui lui semblaient rentables et efficaces au domaine médicale, douées des réussites étonnantes, à la maintenance de tout citoyen, plus cuisinières que pharmaceutiques, tel que le miel, le vinaigre de pomme, le romarin, le gingembre etc. L'auteur en raconte des histoires de guérison populaire presque miraculeuses, tout simplement à l'aide de ces moyens bruts et primitifs. A propos, je suis forcé de le soutenir, car sa présentation était approuvée par des commentaires scientifiques raisonnables, modernes parallèlement. Cette procédure a des ravissantes dimensions, nous nous bornons des deux qui se complètent objectivement : La première c'est enrichir le domaine médical par un laissez-passer au médecine alternative, approuvée, en cas de nécessité ou déficit instantané de la moderne. La deuxième est d'empêcher les patients de fréquenter les charlatans opportunistes qui en profitent sans scrupule. Donc ce type de simultanéité complétive entre la médecine moderne et la populaire pourrait mettre les malades à l'abri des tractations et surenchères écurantes des charlatans du genre Knock et les autres comme vous le savez littérairement ! Les autres dimensions, par exemple, seront la suite mettre à l'aise la population tout en évitant d'accabler son pouvoir d'achat. s'en profiter de la confiance acquise entre médecin et patient diminuer le taux d'hospitalisation et d'importation intensive des instruments médicaux, commerciaux, qui videraient le budget publique et la caisse d'épargne d'un simple citoyen ! pour en être sur, adressez-vous à la pièce théâtrale Knock de Jules Romains afin d'en savoir plus. N'est-ce pas des idéales dimension celles-ci ?. were be back !