Rachid El Ouali Rachid El Ouali: Un jardin à la place d'une décharge Rachid El Ouali: Un jardin à la place d'une décharge Le comédien Rachid El Ouali et ses voisins de Harhoura ont réussi à faire déplacer une décharge. «Il y avait une décharge à proximité de notre maison, cela nous pourrissait la vie, on a réclamé auprès de la commune son déplacement», a-t-il déclaré à l'équipe de Dir Bhali. Après plusieurs tentatives, ils ont réussi à faire déplacer cette décharge. Elle sera remplacée par un beau jardin. Amal Ayouch : Les courses sans plastiques Amal Ayouch préfère le panier en osier aux sachets en plastiques. C'est ce qu'elle aurait révélé dans des propos à l'équipe de l'émission Dir Bhali. Lorsqu'elle doit se rendre au marché pour ses courses, haro sur le plastique ! C'est sa bête noire. En portant son panier, elle se sent comme parée contre la pollution de l'atmosphère. C'est de cette manière toute simple qu'elle dit contribuer à protéger l'environnement. Latefa Ahrare aime jardiner S'il y a quelque chose que Latefa Ahrare affectionne particulièrement c'est la plantation d'arbres. Cette action écolo fait partie des gestes réguliers de cette comédienne. A chaque fois qu'elle croise une pépinière, elle entre et achète toutes sortes de graines et de plantes. Lorsqu'elle se déplace dans la nature ou qu'elle se trouve dans un jardin, Latefa Ahrare sort ses graines de sa poche et les plante soigneusement. Autre démarche de l'artiste attirer l'attention du gestionnaire de l'eau et de l'électricité de sa ville, Rabat, lorsque les lumières restent allumées en plein jour. «je les appelle et leur demande de les éteindre, c'est un gaspillage d'énergie». Fatema Kheir : Maison sans déchets Pour l'actrice Fatema Kheir, la protection de l'environnement doit se faire d'abord chez soi. «Si on s'habitue à jeter des ordures dans sa propre maison, on le fera dehors, dans la rue», déclare l'artiste au Soir échos. Elle considère que protéger l'environnement c'est une éducation. «J'ai une fille de 7 ans et j'essaie de lui inculquer les valeurs du respect de l'environnement, je lui apprends à ne rien jeter par terre». Sanaa Akroud tente le vélo Lorsqu'elle voit des personnes jeter leurs déchets ménagers dans la rue, Sanaa Akroud pique une colère folle. «Je m'énerve lorsque je vois des gens jeter des plastiques partout, c'est un comportement incivique, il ne se rendent pas compte qu'ils sont en train de nuire à l'environnement», déclare-t-elle. Cette artiste avait songé, un moment, à circuler en vélo en ville, mais ce sera peine perdue. Les gens la reconnaissent dans la rue et ne la laisse pas en paix. Des remarques par ci, des remarques par là. Elle a été découragée. Issam Kamal: Un fan de Greenpeace Depuis qu'il a vu les film 2012, Issam Kamal de Mazagan s'intéresse, de plus en plus, à la thématique de la protection de l'environnement. Il a même intégré le groupe de Greenpeace sur Facebook. Histoire de mieux s'informer et de réfléchir à la manière dont il pourrait contribuer à protéger l'environnement. Le vocaliste de Mazagan avoue néanmoins, que c'est difficile dans le monde d'aujourd'hui de sacrifier sa voiture ou de faire d'autres gestes pour protéger l'environnement. Ahmed Boulane : Son jardin le plus vert de la résidence Le réalisateur Ahmed Boulane aime le gazon. La verdure. Cette passion lui a été inculquée dans son entourage proche. Dans sa résidence à Casablanca, il possède deux petits jardins. Il s'acharne pour qu'ils soient les plus verts de toute la résidence. Mais Ahmed Boulane n'y plante pas de fleurs, car les fleurs sont périssables. Il préfère le gazon. Pour ne pas polluer l'environnement, Ahmed Boulane possède une citadine : «Je n'ai pas de 4×4, je possède une petite voiture qui ne consomme que 4,5%», lance-t-il fièrement. Ahmed Boulane ne prend sa voiture que quand il le faut.