Le Comité international pour le respect et l'application de la Charte africaine des droits de l'Homme et des peuples (CIRAC) a appelé à Genève, le Groupe de travail onusien sur les disparitions forcées ou involontaires (GTDFI) à se saisir du cas des disparus mauritaniens dans les camps du Polisario à Tindouf. Intervenant lors de la 13e session du Conseil des droits de l'Homme de l'ONU, Martin Maluza, président du CIRAC, a soulevé cette question. Le GTDFI «devrait s'intéresser à ces cas de disparitions, qui nous ont été signalés par les familles de 168 disparus», a-t-il précisé.