Le Maroc est confronté à un défi majeur, celui des retards de paiement. Avec une dette avoisinant les 400 MMDH, cette question revêt une importance capitale pour l'économie du pays. La nouvelle loi sur les délais de paiement vise à remédier à cette situation, mais sa mise en œuvre suscite des interrogations. Les intérêts moratoires, les déclarations spontanées et le rôle des professionnels du chiffre sont au cœur des débats. S'agira-t-il d'une révolution des pratiques commerciales ou d'un coup d'épée... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.