Depuis le tremblement de terre d'Al Hoceima en 2004, le Maroc a investi significativement pour revoir son approche et renforcer ses outils de gestion de l'urgence. Depuis 2007, c'est le plan ORSEC qui est activé en cas de catastrophes naturelles. Mais si un séisme similaire à celui de la Turquie se produisait dans le Royaume, le dispositif risquerait d'être débordé. Alors que le bilan du séisme en Turquie et en Syrie continue de s'alourdir (plus de 28.000 morts à l'heure où nous... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.