Les professionnels marocains du transport international routier (TIR) risquent la banqueroute, et ce n'est pas à cause de la hausse des prix du carburant. En effet, les camionneurs «collectionnent», depuis plus d'un an, les refus de visas pour se rendre dans certains pays européens. Si la situation s'est améliorée avec l'Espagne, du côté de la France, la tension reste vive. La plupart des demandes de visas déposées par des opérateurs marocains continuent de faire l'objet de rejet par la chancellerie française dans... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.