À 68,9% du PIB, la dette du Trésor reste encore soutenable, mais sans doute plus pour longtemps si la croissance ne repart pas, et si l'impact des soubresauts géopolitiques perdure. La pression des prix internationaux des céréales et celle des dépenses de subvention du gaz butane sont sans précédent. Par ailleurs, il va falloir financer toute la batterie des réformes structurelles, notamment la généralisation de la couverture sociale. Heureux comme le Trésor, le seul agent économique qui détient le privilège... Besoin de lire cet article réservé aux abonnés ? Visionnez une courte vidéo publicitaire ou abonnez-vous ! OU Je m'abonne Déjà abonné ? Connectez vous Nom d'utilisateur ou adresse e-mail * Mot de passe * afficher le mot de passe Mot de passe oublié ? Se souvenir de moi Ce formulaire vous redirigera vers une autre page une fois soumis.