Le président de la ville de Sebta, le populaire Juan Jesus Vivas a réclamé des renforts du ministre de l'Intérieur, pour la «singularité» des frontières avec le Maroc et la pression des flux migratoires exercée sur la ville de la part des immigrés adultes comme mineurs. Dans un communiqué, Vivas a qualifié le passage frontalier entre le Maroc et l'enclave de «frontière entre deux mondes», où se croisent deux niveaux de vie disparates et où la protection sociale et le bien-être ne sont pas équilibrés des deux côtés des frontières.