La confirmation du vote du budget 2014 ne s'annonce pas comme une partie de plaisir pour le gouvernement. Renforcé par l'Istiqlal, l'opposition tentera le tout pour le tout afin de passer ses amendements avortés à la Chambre des représentants. L'actuelle Chambre des conseillers, présidée par Mohamed Cheikh Biadillah, aura le dernier mot par rapport aux mesures finales qui seront adoptées. Du côté de la majorité, le principal risque reste lié à l'allongement des délais d'adoption du projet. Plus de détails dans votre numéro des ECO en kiosques aujourd'hui.