La formation permet d'acquérir, entre autres, des compétences en communication orale, des habiletés managériales et le sens du leadership. Elle propose une autre vision que celle des écoles de commerce classiques. L'Université internationale de Casablanca (UIC), membre de Lauréate université internationale, reconnue comme étant le premier réseau mondial d'universités privées, a organisé le 9 mars 2016 une présentation de sa formation exécutive. Avant de clarifier les avantages de cette filière, ses particularités et sa valeur ajoutée, M. Ben Amar, responsable de la formation exécutive à l'UIC, n'a pas manqué d'aborder la question sur les motivations qui poussent tout un chacun à revenir à l'université. Comme cela a été relevé par les participants de la table ronde de cette rencontre, les raisons de continuer ses études sont nombreuses, et peuvent être d'ordre psychologique ou pragmatique. On peut revenir, en effet, à l'université pour le plaisir ou pour actualiser et approfondir ses connaissances. Suite à cette ouverture préliminaire mais aussi nécessaire, M. Ben Amar a fait un rappel sur le concept de la formation exécutive et son apport. Il affirme qu'après avoir mené des études sur le besoins des employeurs, L'UIC a conçu la formation exécutive selon un «design pédagogique» novateur qui répond au mieux aux exigences des employeurs, tout en l'adaptant à l'actualité marocaine. Une pédagogie axée sur l'expérience du candidat Selon les enquêtes conduites par l'UIC, les employeurs demandent aujourd'hui des profils avec des compétences de communication orale, des habiletés managériales, le sens du leadership et de résolution de problèmes et des capacités prouvées à l'action. La formation exécutive a donc pour mission de répondre à ces demandes aussi spécifiques que concrètes, et ce par la mise en place d'une pédagogie bien étudiée. Elle est basée sur une pédagogie capitalisant sur l'expérience du candidat et des programmes de développement personnel. Avec deux sections MBA et les masters professionnels, ce type de formation prône une autre vision que celle proposée par les écoles de commerce classique. «Les business schools ont échoué à développer des programmes qui satisfont les attentes des employeurs», déclare M. Ben Amar en empruntant les mots d'un article du Financial Times.